Pardonne moi ma compagnon

e dans cette cellule, les phéromones denses que le loup dégageait et la façon dont il cherchait à stimuler sa partie d'elle, le co

rps, y compris les gants et les bottes hautes, et son corps qui transp

rejetant ses cheveux sur son front. Elle ne le ferait pas. Il s'était juré d'abandonner tout instinct sexuel et reproductif et d'enterrer vivante celle qui était sa moitié. Sa vie avait désormais

regarda sans hésitation, ne montrant aucun signe de gêne dans son corps, rien ne po

merci en ce moment ?- Le sourire maudit de Lawson l'a à peine

ente de hauss

e n'aurai aucun mal à te faire mettre à genoux pour implorer mon pardon afin que je puisse te jeter dehors la queue entre les cui

froncé le

n que de te voir me fait oublier toutes les règles. Tu ne peux pas fermer ta langue venimeuse ? Tu te crois meilleur que tout le monde parce que tu es si ha

les presque criées du loup, ses yeux la fixant d'un regard si

meilleur que toi

chapper un gran

d je t'ai rencontré pour la première fois, tu as bien remué ton cul devant les bonnes personnes pour atteindre ton b

aucune idée de ce qu'était devenue sa vie ces dernières années. Mais tout mouvement était inutile, ses jambes étaient entrelacées et il lui était difficile de se mouvoir. Elle avait beau être agile, la techniqu

pas tous ces désagréments, elle pourrait réfléchir plus clairement à la manière de botter le cul de la recrue et de lu

plus léger et il avait enlevé sa veste, ne laissant que le tee-shirt noir qui lui collait à la peau comme une seconde peau. Il ne comprenait pas comment elle pouvait supporter une telle quantité de

ilisait la force pour la maintenir en place et, de ce fait, ses hanches commençaient à avoir des crampes. Grosse erreur. Son érection, déjà à sa taille maximale

yeux et fronça les sourci

i, sale chien- grogna Raven, le visage rouge d'indignation et de dégoût. Ce gémi

ntage le loup. Si cela le dégoûtait, tant mie

ine sur ses lèvres et Raven se crispe enc

pas ça, mais il la détestait tellement qu'il se fichait de la douleur qu'elle pouvait ressentir. Plaçant une m

e souffle. Comme lorsqu'on a bu un verre de sa propre médecine. Il tenta de serrer aussi fort qu'elle, à la différence près que sa main était plus

, sentant ses membres perdre de leur force. Les images étaient ma

on- dit-elle d'

plaisir d'initier sa vengeance, même si sa conscience et son corps lui dictaient le contraire. Il n'était pas du gen

n de toucher la jeune louve en dessous de lui, qui

ir à la limite de l'interdit et de la folie. Ses mains serrèrent plus fort les poignets de la jeune femme, sachant que cela laisserait des traces. C'est tellement mieux. Il commença

e. Elle se mordit la lèvre, déglutit pour retenir l'envie de vomir. Le frottement faisait réagir ses entrailles en les humidifian

ouchements, même avec cette personne, et il était au bord de l'orgasme. Elle n'en revenait pas. C'était une sensation totalement différente de celle qu'il

ans les

en n'avait pas été aussi impolie dès le début et n'avait pas fait son frère, ils n'en seraient pas là.

nce ne résistait plus comme avant. Il avait les yeux fermés, se mordait les lèvres, retenant sûrement ses

ur l'uniforme du commandant. Au prix d'un grand effort, il se retint de pousser un gémissement aigu qui, il le savait, se répercuterait sur les murs en décomposition, alors qu'il se secouait sous l'e

les bras de part et d'autre de son torse tout en reprenant son souffle. Mon Dieu, c'était de la folie. Lo

ol, suivi de plusieurs crachats bruyants. Elle tremblait légèrement, la chair de poule et des perles

du lit et a regardé la scène en

ce n'était pas si grave...- mais

lui, a sorti le pistolet de sa ceinture