Yuri
temps à boire le sang frais que j'ai dans le frigo de mon bureau, et le café a le don de me tenir un peu plus calme. Je ne sais pas c
et délinquants que je me fais un plaisir de torturer sous mes crocs, il n'a plus beaucoup de proie à ses mettre sous la dent. Et je ne parle pas de sexe... une chose qui est devenue de plus en plus rare au fil des années. Je ne peux simplement pas baiser et laisser aller ma nature avec une huma
le café semble être devenu du venin en entrant dans ma bouche, alors que cette jeune femme apparait derrière elle. Mon corps entier se tend tandis que je
e étudiante boursière, m'informe Marishka alo
entends plus rien. Ni les étudiants qui respirent dans leur classe, ni les professeurs donnant leur cours... Plus un son ne
en ? s'empresse de dire Maris
en déposant la tasse sur le bureau to
r de cette jeune femme battre devant moi. Pas de battements rapides... non je dirais que celui-ci semble sur le point de s'éteindre. Une s
ant l'anse cassée dans poubelle avant de relever l
nspirant profondément pour commencer l'entretien. C'est encore pire à cet instant, car si j'étais surpris à son entrée par
lga
ta
n plus pour le faire. Je déglutis nerveusement tout en m'asseyant et je mordille ma lèvre en évitant de scruter l'élégance de cet homme quand il s'ass
lga
m'empressé-je de le rectifier
ayant une sensation plus qu'étrange monter en moi. Mes dents qui mordaient ma lèvre se relâchent et j'ai l'impression d'haleter devant lui, comme le ferait une gamine qui n'a jamais connu le regard d'un homme porté
So
-je surprise en cli
te-t-il en se levant de son fauteuil
l ne prend pas la peine de regarder à mes papiers d'inscription ?! N
vez quand
-il fermement en me faisant face d
il est clair que le visage remplit de haine et de dégout qui se porte sur mo
de ne pas paraitre effrayée par c
d'un pas plus que décidé. J'attrape mes documents sur celui-ci et je sors de ce burea
! Claqué-je en passant devant elle et je balance mes docu
hant que cela ne changerait rien. Je viens de perdre ma dernière chance de me sortir de ma vie de misère, et je n'en connais même pas les raisons. Mais à quoi je pensais ? Je ne suis qu'un
u
dre ce qui s'est passé. La ressemblance avec mon amour perdu est insoutenable et je ne parle pas des sensations étranges qui ont émané de moi en sa présence. L'instant où nos regards se sont rejoints, j'ai ressenti toutes ses réactions se propulser en moi. L'étonnement, la chaleur de son corps, les ba
hose est possible ? l
able de ma poche, essayant de me rappeler de ce que j'ai entrevu sur le document avant qu'elle ne le reprenne avec elle. Quelque chose cloche avec cette fill
jour mo
ui dis-je en sortant une cigarette de ma poche, une jeune fill
a des milliers en Russie. Aurais-t
'étais tellement surpris de sa présence, que je n'ai pas regarder à pl
ant sur Olga, dis-je en conten
ends, tu veux d
beau de ma bien aimée, une sensation plus que désagréable monte en moi, alors que ma tête se penche sur le côté. Mes doigts se mettent à chauffer et je ne peux contenir mes ongles de s'allonger dans le sol sous moi. Mon reflet sur la plaque du tombeau de ma douce Olga me renvoie l'image du monstre qui a pris le
ta
'avère que je ne suis vraiment pas d'humeur à m'amuser, ni à penser à autre chose que ce directeur sexy, charismatique et à la fois un vrai enfoiré. Et pourtant, je ne peux oublier la pureté de son regard porté dans le mien, qui m'a limite fait mouillée sur place. J'ai encore cette
et je regarde ma ma
et je soupire en pensant que cet enfoiré m'a jeté un sort. Après tout, je voulais l
ta main, s'inquiète Tatiana que
iré-je en descen
club. Je regarde l'état de l'évier devant moi, essayant de faire abstraction du couple qui se déchainent da
s-je par dire en
il fait de plus en plus chaud alors que je retraverse
? me demande un grand blond en pas
laisse porter le goulot de la bouteille à mes lèvres, faisant abstraction de sa main qui glisse sur mes
voulais pas boire ! claque le mec v
pour apaiser ma soif, rétorqué-je en jetan
directement sauter les
es lèvres pleines emplissent les miennes sans ménagement alors que nous sommes à peine dans l'allée derrière la boite de nuit. Ses mains plus qu'empressées sont déjà en t
salope, grommèle-t-il alors q
i là ? lâché-je froide
le regard amusé alors que je me décale du mur, tu
! balancé-je en remet
s quand même pas que tu vas partir san
lèvre en sachant très bien ce qui m'attend une fois de plus. Mais je ne peux que m'en prendre à moi-même cette fois-ci... J'ai amené cette situati
n entrant en moi et tirant mes cheveux pour que s
tant, une ombre noire apparait non loin de nous et je tressaille. Non parce qu'il nous