Coeurs criminels
n bureau. Il frappa à la porte, son père qui éta
ne nervosité, Aaron se tortillait sur la chaise, agaçant son père qui fini
hone dans sa paume tout en marchant vers son bureau. U
n semblait tendu, son père le remarqua. Il le regarda atte
, j'a
t son père en riant. "Je le savais, fils, tout
ment
de vous. De toi. De tes sœurs et de
e. Je ne voulais pas
e patience. Il ne laissait jam
toi. D'avoir eu le courage de me le dire. Maintenant
us," répondit Aaron, son pèr
re son fils et son mari. Quand Aaron sortit et la vit, il se rendit compte immédiatement d
ux lorsqu'il lança : "La journaliste a bien pris des no
lle à son fils, et ils partirent tous les deux
se coucher. Il s'allongea sur son grand lit, fixant le plafond et contempla l'immensité de la chambre. Il soupira, ferma
ilieu d'une forêt appartenant à la famille, s'étendant
tinal à travers la forêt. Malgré le froid, l'effort de la course le réchauffait agréablement. Après
lui, avec une dizaine d'hommes postés devant. Il devina rapidement qu
meure. Les hommes de son père semblaient être en plus grand nombre,
près de la chambre de leur mère, Aaron d
e-t-il ?" in
connais l'homme qui discute
ce ?" dem
fille qui a perdu la vie en nous sauva
rappelle d'elle
père. Et son fils, A
i nous taquinait quand nous éti
oi que c'est mon petit ami e
roire ce qu'il entendait. Sa sœur avec Alexeï D
ns ? Ou est-ce père qui t'a f
r. "C'est moi. J'aime Alex. On s'aime. Nous craign
ieux, essayant de
quissant un léger sourire. "Si tu
apprécie pas son petit ami et futur fiancé, si leur père l'acceptait. Aaron p
sur un ton taquin, il ajouta : "Je ne sais pas si tu as le nez bouché, mais je sens la sueur. Tu ne remarques pas ?" S
le petit déjeuner. À sa grande surprise, il y avait des invités à table :
croire. Il avait maintenant grandi, dépassant même Aaron en taille. Il était devenu
son père, qui avait toujours un espace l