icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

La femme d'affaire milliardaire

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 1903    |    Mis à jour : 12/05/2024

dre un peu. Je n'avais pas eu d'homme dans mon lit depuis un moment, pourquoi me priver alors que j'étais jeune et jolie. J'allais dans un bar chic de la ville, je savais que je trou

prendrais pas n'importe qui évidemment, je n'étais pas désespérée. J'avais juste besoin de jouer un peu et surtout facilement. Je fis un grand sourire en apercevant le regard braqué sur moi d'un charmant blond de l'autre côté

m'appelle Da

vid, moi c

mante jeune femme vient

s proies faciles com

faire des

enres de

ui finissent

nt ce genre d'effet aux hommes, peu de femmes sont aussi à l'aise sur ce sujet. Je rajouterais même peu de femmes sont aussi décomp

s dire

culant ma tête lég

e tu n'as

pais rapidement court à la conversation, je lui proposais sans détour de venir faire un passage chez moi. Je sais que beaucoup me qualifieraient de mots peu sympathiques face à mon comportement. Je n'en avais que faire, pourquoi les femmes

poitrine. On n'allait jamais arriver jusque dans ma chambre à ce rythme-là, je remontais sa tête au niveau de la mienne pour l'embrasser. À peine la porte d'entrée déverrouillée qu'il passa son polo au-dessus de sa tête et défit son pantalon, je fis de même avec ma robe. Aucun de ne nous ne semblait vouloir attendre plus longtemps, de toute faç

'attendais plus que lui. Il se mit à me caresser mes seins doucement puis plus rapidement tout en descendant ses mains sur mon ventre puis plus bas encore. Il faisait traîner le plaisir, je ne voulais plus attendre. Je le voula

ux proportions qu'il avait prises. Je me positionnais au-dessus de lui et je me mis à bouger sans plus de préliminaires. On gémit ensemble au bout de quelques secondes. Il se mit à caresser mes seins en même rythme que mes mouvements de bassins. Je me

On explosa quasiment en même temps et lorsque la vague fut passé, je ressentis un bien-être fou. Je n'avais désormais plus qu'une envie, c'est de m'endormir après cette douce séance de baise pure. Je jetais un coup d'œil à l'homme encore allongé sur mo

x minutes, rhabillez-vou

sont les professionnels pour ça mais rarement les femmes. Je prenais en quelque sorte une revanche sur toutes les femmes qui s'était retrouvé dans le cas inverse. Il se rhabillait rapidement et je le regardais faire encore complètement nu. J'avais pris mon pied mais rien de

m'avait brisé le cœur quelques années plus tôt. Il m'intriguait beaucoup pour ça. Je n'avais plus eu de véritable petit ami depuis l'amour de mon enfance. Il avait préféré me quitter quand je lui avais exposé mon rêve fou de monter une entrepri

rmettant ainsi d'ouvrir une chaîne de boutiques. On trouvera dans ces boutiques principalement des vêtements pour tout public et des accessoires. J'avais tant rêvé de ce projet et enfin il allait pouvoir se réaliser. La joie d'avoir sa propre chaîne de magasins, une de mes ambitions qui se concrétisait enfin. Je relisais une nouvelle fois les papiers important pour c

chez le coiffeur la veille car sa coupe de cheveux bruns était désormais impeccable. Je le détaillais des pieds à la tête, son corps, son visage ainsi que ses yeux si fascinant. Je ne pouvais m'en empêcher, j'étais célibataire depuis bien trop lo

on, que puis-je

eu plus près de lui. Son c

évoir comme logement à Paris. Où allons-nous co

que le mot "coucher" avait un double sen

a trois chambres qui sont toutes insonori

rfait! Très bien, je cou

z besoin de

on lit ne vous dit r

tout pour le moment !

fait un dernier sourire. Il me semblait avoir surpris un clin d'œil égaleme

pic. Ce voyage allait me permettre de régler deux affaires pour le prix d'une. Il était mon attraction du moment, j'avais besoin de ce genre de dist

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir