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À un monde de toi

Chapitre 3 Chapitre 03

Nombre de mots : 3766    |    Mis à jour : 30/07/2022

eikh B

_____

s dans une villa très luxueuse. On a terminé notre congé en boîte de

et sur Abdel Bassit, mon grand frère aînée de 3ans et sur Abou Houdayfa, mon petit frère, qui, enlaçaient tout deux notre mère qui souriait de toute sa belle denture blanche

tôt d'expressions pour laisser place à quoi ? De la surpr

moi et qu'elles se décomposent quand je suis là. Vivement que l'on soit tous réunis. Souris je au coin en les regardant à tour de rôle. Le seul bémo

celui-là tandis que Houdayfa soupira tout simplem

e que tu étais ? Me

j'étais ? Tu en as rien foutre de

it Houdayfa en me pointant du

tu te mêles toi ? M

ouvent le rôle de père dans la

il ne le fait que pour lui même. Calmes toi.

s raison ! Rétorque ce dernier en

Répondis je. C'est pas moi qui suis un marchand

e l'être ! D

iment aucune vergogne, je sais même pas ce que je fou à

de poing monumental que je lui rendis aussitôt, avant que Abdel ne nous sépare, il

ais le tuer. Hurla t'il

allé assez loin avec lui, pourquoi t

oque ! J'en ai marre de toujours le laiss

it toujours tout pour te provoquer mais ne lui répond pas, ne lui donne pas cette satisfaction de te voir dans ses états alors que lui ça l'amuse. Dois-je te rap

je ne répondrais plus de moi même ! Lui répond t'il d'une vo

nçais je pendant que Abdel soupira en se tenant

s ? Qu'est-ce que tu y gagnes à vouloir le sortir de

rovoqué ? Demandais je en faisan

le alors que nous avons un si bonne réputation sans toi. Mais qu'est ce qui t'arrive ? Si je savais que

s ça aussi ! I

le droit de s'exprimer. Fis je

uoi tu ne veux pas changer ? Pourquoi ? Tu en as pas marre de voir mes larmes couler à cause de toi ? Tu en as pas marre de me voir veiller la nuit pour t'apporter une c

Je ne t'ai pas forcer ni recommander ou encore moins demander de prier pour moi. Si tes vœux avaient été exaucées, moi je n'aurais jamais exister. Et s'

fait la honte comme tu as toujours su le faire. Un oncle qui a été ton tuteur, ton père, ta mère et qu'en revanche tu as

-ce que je regrette que ce ne soit pa

e en larme avant de me donner une

ouvais être rien d'être qu'un vaurien. Rétorquais je en me

. Ça ne fait qu'empirer les choses. Ça va aller ! Dit Abdel en

cond degré ! Qu'est-ce que j'ai dit de mal ? Hafs

e Abdel en la regardant droit dans les

utée ! Dit Hudayfa habillait d'un au

s sont difficiles à vivre hein les femmes ! C'est naturelle chez elles, crois moi j'en connais qu

y va

ernier avant de passer son

e pas d'encore pleureur et prier pour moi hein tant que tu y es. Les taquinais je p

u sol pour le déposer sur le canapé au

immédiatement après avoir ouvert la porte d'entrée, ensuite il y avait la véranda et enfin le salon qui se trouvait à l'intérieur. Il y avait

tandis que ma mère, en tant que vendeuse d'arachide le soir et vendeuse de bouillie la nuit essaye d'assurer au moins un repas par jour. Je sais qu'ils joignent difficilement les deux bouts mais c'est tant pis pour eux, moi j'en ai que faire de ce qu'ils vivent. La preuve ma chambre ne manque absolument de rien, j'ai un frigo barre, tiroir à biscuit, double lit, écran plat, clim, arm

implement d'un short avant d'allumer la clim et de m'enfouir dans mon lit en soulevant

ble et je soupire en voyant que

ié, chaque jour, son amour semble augmenter pour moi alors que je

tu es pire que ma mère et ça devient difficile à vivre pour moi. } avant de mettr

uton pour éteindre la musique. Traînant ensuite des pieds, j'allais prendre un bon bain et m'habilla simplement d'un ensemble jogging gris avec un

à tue-tête, assis sagement sur mon sofa. Après avoir fini, j'allume une cigarette en faisa

le temps qu'il me fallut pour alle

uvrant la porte à demie. Tu veux encore du sang sur l'autre

s-tu s'il te plaît éviter ce gaspillage sinon la facture risque d

fier d'être un marchand ambulant ? Te fous pas de ma gueule

es, mon téléphone se mit

Ou

moto. Ass a déjà fait le tour et apparemment ce soir, s

sui

', au jardin sous le poteau élect

oindre alors. Ah au fait,

dernière s'est très vite écoulée. Je vo

à plus ! Lui dis je en éteigna

Raccrocha

a lampe avant de sortir de la chambre pour la fermer

batteries, des protège-téléphones et des chargeurs. Il était aidé par Abdel Bassit qui transportait sa boule

'est mignon ! Leur souris je. J'aime beaucoup cela, vra

oblème toi !

faute si vous n'avez aucun sens de l'h

aciliter la facture d'électricité, pourquoi t'arrive pas à êtr

au. Pour toi aussi j'ai une sur

capable d'insolence

vous ! Alors on essaie tous ensemble ?

ment il m'énerve avec son sourir

, je t'entends. Fis je

répète peut être

x-tu nous rendre la vie difficile, pourquoi t'essai

sens de l'humour mes chers frangins. Souris je avec une main sur ma poitrine

a assise vendant de la bouillie et psalmodiant le Ciran. Nos regards se croisent

hein Hafsa ? Tu as peur que je fa

la tête en jouant avec ses doig

que ça fait de voir son enfant dans un si mauvais chemin. D

mage pour tes fils que tu meurs aussi tôt ! Et puis Hafsa tu n'es pas

it que je t'ai donné la vie Bilal

i, ce serait une autre q

e autre, c'est moi q

oui ! Fis je avec

urs dans des affaires illégales, tu fais sans cesse des allers retours en prison et la police vient toujours chez nous pour enquêter. C'est ça ta vie Bilal ? Tu es

personnes suivaient notre discussion. Pas étonn

é connu dans la religion, dans la virtuosité, dans la piété et dans la droiture. C'est moi qui ai jouait l'exception, moi qui ai malheureusement habité en toi. C'est cela qui te pose problèm

èrement de sa cha

t l'autre fait l'appel à la prière le vendredi ainsi que les sermons. Que diable pourrais tu avo

..

e rép

trer dormir ! C'était la police qui te traquait n

.

'énerve pas avec tes

t elle ho

'', j'eus un pincement de coeur. Qu'est-ce

être gênée, c'est normal Hafsa. Lui lança

fils, où est-c

nir avec moi peut être ? Demandai

fils ! Dieu te guide

. Une dizaine de minutes plus tard, j'arrivais à notre lieu de rendez vous. Je salu

clairante ! Vous trouve

craint !

. Confi

une peti

z ! Leur

ue tu fais ?

ez je v

eu de personne qui passait par là. Ceci fait, je pris mon élan avant de jeter la pierre qui atteri

que ça ? Demande une dame

é, sûrement elle était chaude. Vous savez madame ça a

s publics entrain de discuter tranquillement et d'un coup, la lampe s'est éteint mais heure

désirer. Ils font vraiment du n'importe du quoi. Je vous assure

firme. Rapplique t'e

personnes, des motos sans plaques bien-sûr, on les arrache à chaque fois qu'on s'apprête à faire du sale.

Et n'oubliez qu'il ex

iètes ! Dit Taha. Bo

ne ch

disait { j'espère que tu n'as pas oublié que c'est demain soir que je viendrais vivre avec toi à

ors ! M'et

l'existence de Ihsane pen

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