Seulement un père

, de coups d’un soir ou de délires pervers. Il les incarnait tous mais elle ne le comprenait pas. Elle ne voulait pas le décevoir, alors elle raval

sans formes ; il passa sa main droite sous la nuisette et jouait avec eux en riant et en lui demanda

! Mais ta peau est tellement douce et tu sens si bon ; je vais te

Il la maîtrisait et il adorait cela. Comment pouvait-il en être autrement, elle ne pouvait pas

epensait aux paroles de sa belle-mère et de son père ; elle ne pouvait vraiment rien y faire ; elle était bloquée dans cette situation ; elle allait devoir attendre de grandir et de supporter ce supplice qui d’après son père n’en serait bientôt plus un ; elle finirait par apprécier et y trouver du plaisir. Elle était comme sa mère, donc cela signifiait que sa mère n’était pas comme elle le cro

i. Il lui expliqua pourquoi il allait la lui lécher, comme un bonbon que l’on savourait. Elle ne voulait pas qu’il y touche, elle bougeait alors il la bloquait de toutes ses forces ; elle grognait et lui donnait des à-coups de re

la main dessus en lui disant fermement de se taire, mais qu’il fallait qu’elle ouvre sa bouche, que cela lui ferait penser à un énorme sucre d’orge ou une glace ; elle n’avait rien d’autre à faire

ienne qui boit de l’eau ;

ochait de plus en plus, jusqu’à enfourner sa verge dans sa petite bouche. Elle manq

bonne chienne comme ta mère ! Je vais te

tendre son plaisir, mais qu’elle ne devait pas crier. Il descendit et lui écarta les cuisses ; il y glissa un doigt et cracha dessus ; elle

es la sentir en toi ? Tu me l’as bien préparée en me la léchant. Tu es vraiment dou

larmes qui roulaient sur les joues de Jenny. Il sentit qu’il venait et se retira, lui envoyant sa sem

emanda-t-elle en pleurant, ca

parce que tu as bien agi

? Et pourquoi

! Pour le sang, c’est normal, c’est parce que j’ai ouvert ta porte, ma princesse. Je suis fier de

nes aussi

n, tu n’en as presque pas ! C’est un secret et personne ne parle de cel

gé de sa fille ; et il sortit, avec

; pour le sang, je t’envoie Chantal, elle va t’aider.

es ne grinçaient pas. Elle se tenait à la rambarde en bois, du chêne foncé qui sentait le produit à faire briller les meubles. Elle leva les yeux pour regarder s’il la regardait descendre ; c’était le cas ; il la contemplait, tout en se touchant l’entrejambe fièrement. Elle se dirigea à petits pas, tenant la serviette entre ses jambes, car elle sentait l

isait qu’elle risquait de faire une allergie au parfum de celui-ci. Elle la crut et se laissa faire ; ensuite, elle s’essuya et elle dut mettre une protection pour

man va le

ulotte à ta mère ? lui r

voir les

ond des poubelles ; tu n’es

petit moment, lui racontant tout le mal qu’elle venait d’avoir et elle lui montra les bleus qu’elle avait entre ses cuisses ; son père lui ayant maintenues pendant qu’il la pénétrait ; par amour pour elle, lui avait-il dit. Elle était d’autant plus troublée que son père di

pouce dans la bouche, pensant à ce qu’elle avait dû faire ; en silence et sans pleurer. Elle devrait se renseigner dans des livres pour être