Une vie en enfer
ts. De sombres et anciens s
n plus d'être abandonnée, cette maison est ravagée et écrasé par le poi
tant de la période coloniale. Lorsque le vent de la démocratie commença par souffler, les dirigeants ont voulu rénover ces habitations mais quelques une parmi elle ont été laissé. Après deux ans de tr
n équipe, constitué de maçon, coffreur, menuisier, ferrailleurs et des ouvriers prêt à donner leurs mains d'oeuvres, devrait con
ns son travail et fait ainsi la fierté de ses parents. En un mot, il était heureux. Heureux de s'occuper, de se trouver quelque part plutôt que chez lui en train de regarder la télévision. Heureux d'être à la tête d'un groupe d'hommes qui le comprend au mot. Mais tout à coup, cette joie disparaît de son visage une fois à l'entrée de la maison. Il eût l'étrange impression que les arbres se refermait au dessus de sa tête, étouffant la luminosité matinale. L'air ambiant devient très épais et chaux dans ses narines. Son sourit s'évanouit d'un coup. Le bruit de la circulation et de ses amis s'atténua derrière lui. Dans sa tête, le bruit augmentait, prenait de l'ampleur pour se muer en chuchotements sourds comme la sonate de Mozart. Il était debout devant l
phin ignora ces inscriptions...tout en se félicitant intérieurement de ne pas se trouver là au coeur de la nuit ni seul. Ils entraient tous l'un après l'autre, les moins courageux en derrière position. Derrière la clôture, les herbes sauvages se disputaient le terrain. Il donna l'ordre afin que le travail commence. Sans plus tarder, et très rapidement, la terre ferme se montrait déjà car le
uir. Puis s'arrêta. S'efforça de
ce qui
t rejoint son chef qui n'est p
tout v
e partout. Il regarda de nouveau les mûrs au
air dehors pour me changer
t Narcisse qui ne comprend
illeurs qui gagnaient du terrain dans le sarclage. Le condu
e corbeaux n'était rien d'autre qu'un sachet en plastique qui dansait au rythme du vent. Un grain d'assurance naît en lui mais très vite le vent balaya ce sentiment car un bruit se fit entendre de l'intérieur. Cette fois-ci, c'était vrai, du "live" comme le dirais les musiciens béninois.
cisse... mais à q
ce en guise de réponse. Cela ravive le feu de la peu
la chambre. Il vérifia dans les coins mais ne trouve rien. Il remua ciel et terre dans la chambre mais p
là!!! Qui fai
fond et se retourne d'un seul coup en dressant son bras comme u
wê to j
pouvait rien lui dire car il ne comprenait même
jò...mi ko f
dê no lò to
yi dò nęn
ait pas encore fouillé dans les autres chambres donc le silence était la meilleure solution. Il quitte la chambre pour commencer l'inspection. La seconde chambre se trouvait derrière la première et un petit couloir les reliaient au salon. Il s'aventura dans le couloir la peur au cœur et le courage en main. Le battement de son cœur était fort et rapide. La voix qui résonnait dans sa tête reprit. Le message était clair, c'était comme un ap
ce que
sais
apitulatif des événements de plusieurs années. Des noms, des dates, des heures étaient gravés sur le mûr. Les informations étaient classées de façon méthodique. C'était un véri
me endroit, tu
des enfants immolés sur l'autel. La liste est longue. Très long
inon c'est sûr que nos noms se
ourne une fois encore pour contem
rs la sortie et Narcis
ien ne justifiait ses dits. Ceux qui ont doutés ont très vite eut raison quand le patron est ressorti accompagné d'un Narcisse bien vivant. A première vue, on ne pouvait rien rem
aire à
e suggè
t qu'à lui, ils allaient déguerpir. Ramasser leurs clic et clac pour filer aussi vite que le vent. Mais si c
tu dois envoyer quelqu'un alerté la polic
es-tu que je
il parlera de ça à son ami Doss
ment fai
ir...à la fin des travaux,
nne idée...on
pour l'évolution du chantier. Les maçons faisaient des briques, les ferrailleurs travaillaient sur les fers po
vaux puis sort pour rejoindre le chauff
Narcisse fit signe à son ami
evant rien. Séraphin même savait qu'il allait retourner dans la chambre mais il ne savait pas que ce serait aussi vite. I
d'araignées. Avec le temps, les fers s'étaient désolidarisés des parois de briques, prenant l'allu
saisi de
avait dû être une entrée. Le cadre était pourri du haut
lui la voix de Narcisse qui éta
e ne bougeait pas d'un millimètre. Il insista, avec encore plus de force. En vain. Il se tourna alors
nt nul. Laiss
puis chargea pour venir asséner au battant un violent coup d'épaule. Le bois laissa entendre un craquement mais tint bon. Jacob était surpris de voir son am
main au lieu de reste
i important dans cette chambre et
stions stupides...fait j
grincement d'agonie, finit par céder. Les deux amis tombent dans la chambre. Narcisse se relève puis tend la main à son ami afin de le remettre
jours à fond. Il les encouragea. Lorsqu'il reprit le chemin de la sortie, il remarque l'absence de Narcisse. Il comprit
dans la chambre. Le plancher qui craquait sous leurs pieds
couragea Narcisse en
Narcisse. Mais à sa grande surprise, il remarqua qu'un nouveau signe a été fa
nus. Une peur bleue s'empara de lui. Aussitôt, il entendit un grand bruit assourdissant au fon
lques minutes d'attente, ils coururent vers la porte d'
faites vous ici...l
Narcisse devant le boss
eux de surveiller la chambre
besoin d'êtr
ocaliser la voix. Il y avait une petite porte à gauche dans le couloir. Arrivé dev
bon Dieu...art
il y avait un mort
garda et fit o
ns la chambre à première vue. Mais lorsque Narcisse avança, il trouva u
là. Dit-il en point
Séraphin qui semblait
s trop ce qui se passe. Il les suit
Sur la gauche, apparaissait un escalier qui menait vers le sous-sol. Des marches qui n'inspiraient gu
ehors...fit su
il baissa la tête pour que les autre
le chantier. Ça fait déjà deux semaines qu'on lui avait prédit un malheur qui devrait l'atteindre s'il ne fait pas att
Celle-ci n'avait pas de porte. Plus rien n'arrêtait Séraphin car ce fut lui qui fit le premier pas pour entrer dans la chambre. Les autres viennent derrière
ntes. Au fond de la pièce, se trouvait un autre passage, vers lequel Séraphin se dirigea. Il vit encore une autre porte. Fer
ant, Séraphi
surgit derrière eux.
.fit Laurent qui ve
ici? Demanda Séra
..si nous sarclons une surface, avant d'attaquer une n
i? Lança Narcisse
rent...et vous, pourquoi êtes-vo
car la porte devant lequel ils étaien
Les autres sont restés étonnés devant les faits car l'eau s'est déversée seulement dans cette partie de la maison. C'ét
t à fuir mais Sé
s fuir...maintenant que nous sommes quat
is de bon, dit Narcisse qui
DE LA MORT, JE NE CRAINS AUCUN MAL CAR TU ES A
vrait reculé devant aucune situation. Il disait ces prières avec sincérité et ses pas étaient désormais sûrs. Derrièr
JAH MICKEL-JAH MICKEL-J
contre ne disaient rien
s pour un but spécifique. On voyait encore du sang frais sur quelques uns de ses instruments. Les quatre hommes se regardèrent à tour de rôle. Laurent rallume sa torche p
out à coup Jacob
, s'entendit so
cent à l'heure dans ses veines. Mais panique ou pas
dans ce coin...fit Narcisse à L
coin. Un très bref mouvement. Une ombre
che braquée dans le
cage!!! Cr
n grand artiste. Ils sont plus près à présent et avant que Laurent n'éclaire l'intérieur d
Impossible. L'étau qui l'ense
nt rauque retentit et l'étreinte se desserra. Laurent braque sa torche sur
oignent à eux sans posé de question car ils étaient aussi terrifiés par la peur.
ommée "bayole" alors qu'on voyait notre géant Toffa 1er là, Séraphin parla à son équipage qui furent très surpris pa
ant. Un enf
faite avec des