« X » - La lettre de mon malheur
travaillait dans une banque mais ce n'était pas non plus la panacée. La vie à Paris est chère, notamment en ce qui concerne les loyers. Nous étions locatai
fort probable que ce qui avait motivé la décision était le fait que la formation déb
rsion tout en percevant les indemn
les bancs de l'école depuis pas mal de temps ? L'écrit consistait en une dissertation et un commentaire de texte. Je me souviens encore aujourd'hui des sujets. Celui de la dissertation était : « La peur peut-elle provoquer du plaisir ? » et le commentaire abordait lui les sports à risques chez les adolescents. J'ai tenté le tout pour le
ection par un jury composé d'un psychologue, de la directrice de l'Institut ainsi que d'une formatrice de l'école.
avais pris de gros risques. Si j'avais raté mon concours dans cette école, ma reconversion échouait. En effet, il n'y avait que 40 places à pourvoir et no
et je dois dire que j'ai bien ri pendant tout ce temps. Il est vrai qu'à mon âge je me sentais beaucoup moins timide donc plus disponible pour apprendre. Le monde scolaire pour moi pré
es sociales dans des domaines différents. Certaines ont lâché la formation et sont parties vers d'autres
ternité Parisienne. J'avais choisi le thème de mon premier mémoire : je travaillerai s
ps, lorsque l'on porte un nom de famille qui est aussi un prénom, on peut supputer l'existence d'un ancêtre ab
logiques pour éclaircir cette question. Mais pour le moment, c'était l
ie communiste sur le 93. J'étais assistante sociale en polyvalence de secteur. Ce qui consistait à accompagner toutes personnes domiciliées sur un même quartier. Les si
ravail d'accompagnement des usagers. De plus, nous devions exercer les missions bien sûr nationales, départementales mais aussi municipales. Le 93 était un département où l'on testait les nouveaux dispositifs sa
ct avec la Cadre Sociale qui me pensait très adaptée au poste. Mais je n'ai pas réfléchi très longtemps pour me décider à accepter la proposition du poste en Maternité. Au niveau de ce recrutement, j'avais
et une secrétaire médico-sociale mais aussi dans un monde de soignants. Ce qui ne fut pas sans poser quelque
ances. Le secret professionnel n'était pas le même pour les assistantes sociales et les soignants. Cela pouvait donc
ofession. Cela nous était beaucoup reproché d'autant que nous avions accès facilement et régulièrement aux dossiers médicaux des patientes,
ue cela serve à l'avancée des situations. Trop de rigidité empêche