Les sentinelles de la reine Ou'Teikh - Tome 1 : La valse des Golems

ours coupée dans sa chambre. Au beau milieu de la pièce trônait un imposant piano à queue devant lequel une banquette laquée noire se trouvait. Le dessus en velours rouge qui la garnissait la me

la curiosité qui nous poussait à aller à la rencontre de ce fauve. Janice, accompagnée par Debbie, Maria-Carmen, Theodore, Demika, Scott et Karen qui ne voulurent pas manquer un seul instant de l’événement

breux, poussés par la même curiosité nous fit sourire. Cel

un vilain défaut !

r à l’envie d’aller jeter un œil à ce fameux

ît même qu’elle est conta

! s’excla

ui se tenait sur le seuil de la porte de sa chambre nous suivait

que vous soyez venus vous assurer que j

fourrure

o. Nous échangeâmes un regard dans l’espoir que l’un de nous ferait le prem

r de près ! Voici mon fidèle co

licatesse de son geste donnait l’impression qu’il retirait le mant

! s’écri

d’art ! s’écria Janice, fascinée par

rveille ! a

t qu’au cinéma ! Puis-je le toucher ? d

me mort pas ! répond

t un fauve vivant. Celui-là, je parie que vous l’avez dompté il y a quelque temps déjà ! J’en

un magnifique piano à queue ! C’est vrai

grippent le sol, on dirait vraiment

nt dont vous parliez tant était aussi beau et impo

exactement 157 centimètres de largeur, 274 centimètres de longueur pour un poids de 500 kilogramme

tant qu’un taureau, c’est tout bonnement incroyable ! Et en plu

la fait des années qu’il pa

u’il sort tout juste du magasin ! s’e

tendu ! Son prix doit être aus

vraie bête de scène

a raison de votre déprime face aux nombre

nt fabriqué, des sonorités au volume inimitable et un toucher absolument unique ! lança Scott penché sur l’instrument dont il faisait

quelques notes, juste pour entendre le son de cette merveille ? S’il vous pl

-vous un compositeur de choix, u

! répondirent Mari

que mon père me jouait souvent lorsque j’étais plus jeune ! C’est la « Rêverie de C

fort bien les œuvres du Compositeur. C’est un maître incontesté de la création

i, j’ai une certaine culture musicale, moi ! J’ai étudié le solfège e

hoix, Janice

Cloud-Di-Boussy ? ironisa Debbie qui déclenc

nous fit tous sourire, ce qui ne manqu

connaisseur en musique clas

honneur pour moi que de vous faire découvrir ce compositeur f

e la signature du fabricant était apposée. Le mien s’immobilisa sur les doigts de Carlo qui s’articulaient en toute légèreté et fluidité sur les touches. Durant un court instant, Carlo ouvrit les yeux et esquissa un sourire amical. Devant son instrument, les lueurs de nostalgie qu’il avait dans le regard me firent comprendre combien sa musique parvenait à le détacher de tout ce qui l’environnait. Il parvenait alors à rejoindre la troupe des canards qui s’envolaient de l’étang. Cette musique si précieuse à ses yeux semblait lui donner la sub

urmura l’Éducatrice,

s ici ! Voilà le pianiste qu’il nous manquait pour former un groupe de musiciens à Flanagan ! lanç

la mauvaise porte ! Ici, c’est du Classiq

ne Renard, une élégante octogénaire, artiste peintre de métier et originaire d’Aix-en-Provence, en France. Cett

ez parler de l’âge de pierre ?

rpellera pas même vos plus lointains souvenirs

e ! murmura James Laechner, un au