Amis d'enfance, bourreaux d'un jour

lie

sur son visage, juste une expression calculatrice. Elle ne me tendit

x me fixant avec ce mélange habituel d'admiration fe

, curieuse, am

a voix se faisant plus douce. « Est-ce que... je pourrai

sourire. « Si tu sais que c'est audacieux, peut-être ne devrais-tu pas le demander. » Je t

ictime. « Pourquoi tu me parles comme ça, Aurélie ? » pleurnicha-t-elle. « Je

tirant doucement. Dans la lutte, le trophée de cristal glissa de nos main

eant comme si elle était en danger. Ils l'encerclèrent, examinant avec anxiété le moindre

s de douleur. « On va à l'hôpital. » Il la so

s de verre. « Pourquoi tu insistes, Aurél

is mois de mon travail. C'est MON trophée. » Je montrai du doigt Marion, toujours dans les bras de Victor. « Elle

ureur. « Ce trophée n'est rien ! » hurla-t-il. « Marion est plus importante ! Tu l'as bl

mbe. Je baissai les yeux. Ma propre jambe, coupée bien plus profondément que celle de Marion, saignait abondamment. Je serrai les dents, r