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L'ultime vœu martien du jumeau

Chapitre 3 

Nombre de mots : 1440    |    Mis à jour : 12/12/2025

ue d'Adèle

mais aucun mot ne sortait. Après un long moment, il hocha lentement la tête, un seul mouvement décisif. Il vida son verre, le posa

balustrade, la serrant fermement, essayant de me stabiliser. Les cinq dernières années avaient été une usure constante, physiquement et émotionnellement. La façade avait été épuisante à mainten

e voir, obtenir la signature des papiers du divorce, me libérer vr

oix d'Amaury, épaisse de satisfaction. « Adèle ? Toujours

pouvais pas. Mon corps me semb

te souris a enfin trouvé sa voix. "Je pars ce soir." Quel charmant sen

. Tu n'auras rien. Pas un centime de mon argent. Pas d'héritage. Pas de pension alimentaire. Tu retourneras à ta

it du bruit de fond, les échos d'une vie que je quittais déjà. Son

a joue. C'était une larme d'épuisement, de libérat

ée que je ne joue pas ton petit jeu. Tu voulais que je te supplie, n'est-ce pas ? Que je te dise à quel p

nant toujours le médaillon, plongea dans le petit sac que je portais et en sor

ré le tremblement de mes mains. « C'est fini. Tu peux avoir Gi

sse en mépris. « C'est une blague ? Une sorte de test élaboré ? » Il m'arracha les papiers des mains, son regar

être la parfaite épouse silencieuse, tu ne veux soudainement plus rien ? Tu joues à un jeu dangereux, A

e champagne, glissa sur le balcon. « Elle ne joue pas à un jeu, chéri. Elle est juste pathétique.

t ton attention. Elle pense qu'elle peut rivaliser avec moi. Après tout. » Elle fit un geste dédaigneux vers ma robe

Amaury. Ma tête tournait, ma vision

à peine plus qu'un murmure, mais empreinte d'un a

une rage brute et nue. Sa main jaillit, saisissant mon bras avec une force brutale. « Mascarade ?

térieur du penthouse, ses mouvements saccadés et agressifs

ouloir faiblement éclairé. « Gisèle, attends-moi d

on... » commença Gisèle, sa v

x brillant d'une fureur possessive que

, puis s'enfuit, ses talons hauts c

quasi-obscurité. Il me plaqua contre le mur, son corps se pressant

ngereusement basse. « Tu crois que tu peux simplement pa

t ma peau. « Tu ne sais pas comment ça marche ? Tu ne m

e goût de la colère et du désespoir. Je me débattis, poussant contre sa poitrine, mais ma force me

yeux brûlant d'une sombre intensité. « Tu veux être mère ? On peut commencer

n tordue. Je gémis, un son de pure misère, alors que de nouvelles larm

e mais insistante, perça la porte. « La voitur

Adèle ? » murmura-t-il en pressant ses lèvres sur ma jo

dans l'encadrement, le visage sombre. « Amaury ! Qu'est-ce que t

ntion des tabloïds, du scandale public, sembla percer sa ra

me relâchant brusquement. Il bouscula Jovan,

mon épaule. « Adèle, ça va ? » demanda-t-il,

luttant toujours pour reprendr

ant Amaury s'éloigner d'un pas furieux. Il me rega

médaillon caché sous ma robe. Il était toujou

ix rauque. « Je ne le détes

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