Les Cendres de Pierre
lètement, aidant Paul à sortir de la voiture comme s'il était en por
mandé si j'allais bien. Il s'est approché de moi et, sans un mo
failli tuer ton frè
traitant de tous les noms. "Tu es jaloux de
it comme un criminel. Je les ai regardés, un par un. Mon père, le visage tordu par la rage. Ma mère, hystérique. Et Sophie... Sophie me regardait avec un
faut l'emmene
it pas de moi. Ell
de la gifle, ni le sang qui coulait sur mon front. Je ne sentais plus rien. L
émarré en trombe vers l'hôpital. Mes parents l'ont suivie dans leur propre véhicule. Personne ne m'a
llé à l'hôpital par mes propres moyens. L'in
nt de la route...
oché l
s le couloir, j'ai vu un attroupement. Sophie, mes parents, ma belle-mère, tous étaient là
st le couple de tout à l'heure. Ils sont si mignons. Il s'est juste foulé le po
i-je répété, l
inte. Ils vont avoir un b
ng dans l'estomac. J'ai avancé de quelques pas, me
ur," disait Sophie à Paul,
n, c'est tout ce qui compte," répo
l, après un accident que j'avais subi, ils se comportaie
. Je l'ai essuyée rageusement. Je ne leur donnerais pas la sa