L'Ultime Mensonge
use. Pourrions-nous avoir quelqu'un d'autre, s'il vous plaît ? » J'ai évité de regarder Léa, gardant les yeux fixés sur la directrice de la boutiq
aise. Je ne sais pas ce que votre employée a dit ou fait, mais c'est inacceptable. Nous dépensons une fortune ici. Je veux qu'elle soit traitée comme une reine. » C'était un s
s'est confondue en excuses. Une autre vendeuse, plus âgée, a pris le relais. Alors qu'elle nous aidait, elle a chuchoté, pensant bien faire : « Ne vous en faites pas pour Léa. C'est une jeune fille un peu
cipitamment. Je savais où il allait. Je l'ai suivi des yeux à travers la vitre. Il n'a pas sorti de cigarette. Il s'est dirigé vers l
son cou. Il lui caressait les cheveux, la réconfortant. Je me suis approchée, me cachant derrière un conteneur.
iliée, Marc !
st une handicapée maintenant. Elle ne vaut p
contre le mur froid pour ne pas m'effondrer. L'homme qui disait vouloir m'aimer même si je ne pouvais plus d
des heures de répétition, massant mes pieds endoloris. Il était si patient, si attentionné. Tout n'avait é
r mes joues. J'ai repris ma place dans la boutique juste avant qu'il ne revienne.
stable. « La robe est parfaite. On se retrouve à la maison. » J'ai raccroché