La Victoire Intérieure
enier à la volée, sans frapper. Elle était essoufflée, ses yeux
e tu as brûlé ?" Sa voix était stridente, un méla
. Ça prenait de la place." J'ai menti calmement, sans la regarder dans les yeux.
iatrice bienveillante. "Laisse tomber ça. On a emmené Lucas à l'hôpital. Il va bien,
ndant une réaction de ma pa
à cause de toi." Elle a prononcé cette phrase avec une conviction qui m'
aut être indulgent avec lui. Il a besoin de se sentir souten
, Sophie ? Dis-le moi. Le fait que je n'ai plus d'avenir ? Plus de fiancée ? Pl
pourvu. Elle a froncé les s
faire ton égoïste. Lucas est à l'hôpital ! La moindre des ch
er ? Pou
!" Ses joues étaient rouges de colère. La gentillesse avait disparu, laissant place à son vrai visag
enant menaçante, "ne t'attends pas à ce que je te pa
uvoir sur moi. Elle se trompait lourdement. J'ai
erchant le jeune homme désespéré et amoureux qu'elle avait l'habitude de contrôler. Il n'
it, j'ai entendu mes parents rentrer. Leurs pas étaient lou
mon père en alluma
assis sur m
x pleine de venin. "Le médecin a dit qu'il était en dépression nerveuse. Il a
as seulement à l'usine. Le soir, tu iras faire la plonge dans le restaurant de ton oncle. Et c
tait de l'esclavage. Ils voulaient
tesse, ni de la peur. C'était une rage froide, pure, qui montait du pl
us vous entendez parler ? Depuis des semaines, vous détruisez ma vie, vous me vole
votre fils ? Ou juste un obstacle, un compte en banque s
violet de colère.
ai plus rien à perdre !
j'aie jamais entendue. Il m'a regardé droit
re ne t'ait pas laissé à l'hôpital le jour de ta naissance. On a
même hoché la tête en signe d'approbation. C'était la fin. Le lien du
nouveau. C'était Sophie.
une décision. Pour le bien de Lucas, et pour que les choses se calment, je
s moi, attendant sans doute de m
si elle parlait de deux inconnus. Le garçon qui voulait l
oché la tête
e de stupeur. Ils s'attendaient à des larmes, des cris, des supplications. Ils n'ont eu que le silence