Le Parfum du Sang et de la Vengeance
on me montait aux narines. Chaque pas était une torture. Mon ventre, lourd de neuf mois de gros
ne simple chemise de nuit blanche, pieds nus dans la boue. On m'avait arrachée à mon lit, à la
t craché un son grésillant. Une voix s'est élevée, u
une paysanne, après tout. Elle ne sait même pas que je sui
suivi, celui
vrai spectacle. Une femme enceint
n que je ne lui avais pas entendue depuis des années. « Elle s'ennuyait. Elle a dit que les
stait, mais j'avais choisi de l'ignorer, me raccrochant à l'espoir
aléatoire. C'était un jeu. Un jeu cruel organisé par
allumées, m'aveuglant. Des
a voix se brisant. « Rober
a, agitant les bras, essayant désesp
, j'ai entendu le cr
sale ! Fais-la taire, mon
aversé mon corps, partant du collier. Je me suis effondrée au sol, hurlant. La
enaient de
la terre à ma peau. Les aboiements de chiens se sont rapproc