Séduire le père caché de mon enfant
e, presque déchirante. Simon. Toujours Simon. Les nuits s'étaient faites complices de ses tourments, lui offrant chaque fois le même songe brûlant depuis
laissé par son absence. Toni s'était effondrée sur le canapé, incapable de se relever. Un poids sourd lui enserrait la gorge, montant en elle jusqu'à obstruer tou
à une autre. Simon allait se marier. Probablement riaient-ils en ce moment même,
A.J. étaient partis travailler - elle n'aurait pas supporté de se savoir observée dans cet état. Simon, lui, aurait dû être absent au
ge de parler. De lui dire. D'agir. Une seule chance de laisser les choses suivre leur cours... mais elle n'av
urtant le sol tandis qu'elle se retournait brusquement. Simon se tenait
et un fol espoir. Il ne devait pas être en
imo
r le comptoir, projetan
ce, incertaine. Devait-elle l'approcher ?
un autre. » La voix de
de ses poumons. Sans réfléchir, elle s'élança vers lui, s'arrêt
», murmura-t-ell
étrange soulagement pulsait en elle. Un batt
eur âcre de l'alcool vin
emanda-t-elle en
e sans joie. « O
il se pencha, sortit une bouteille de bour
elle, provocateur. «
mon.
ança-t-il av
lle ne mérite pas q
ête, les yeux glacés. «
ar le goulot. Il la posa sur la table basse, remplit le ver
amais voulu qu'il épouse une autre. Mais cette douleur, cett
e si fort que ses pha
. La demander en mariage. Et je la
, les lèvres retr
l cré
», répliqua Toni d'u
e détendit. Un éclat d'humour fugitif traversa ses
erc
ment la tête, évitan
i de q
là », sou
it chaude, son regard brumeux, mais ancré en elle. Deux verres
Elle ignorait comment il réagirait. Elle ignorait d'où lui venait cet
ssa de sa joue à son épaule, puis descendit lentem
se pencha et guida sa main jusqu'à sa bouche
lors que ses lèvres frémissaient contre les siennes
iennes. Elle sentit un nœud naître dans sa gorge, un souff
aresses ou un baiser égaré. Elle voulait qu
sier du canapé. Ses doigts glissèrent sur ses épaules, descendirent le long de
lentement et s'assit à califourchon. Elle planta ses yeux dans les sie
en. Une fois le tissu arraché, il l'attira à lui, s
dit dans la danse de leurs langues. Simon, fébrile, fit r
ntensité de ses caresses. Elle voulait lui montrer, enfin, combi
'agrippa à lui alors qu'il la portait jusqu'à sa chambre. D'un coup de
un pas, ses doigts déjà gliss
moindre frémissement de ses muscles, la lueur fauve de ses yeux, tout chez lui évoquait la tension affamée d'un fauve en cha
ottant sur ses lèvres, puis attrapa le tissu de sa chemise qu'il tira lentement jusqu'à ce qu'elle lui glisse des épaules. Ses doigts glissèrent ensuite sur le bouton de son jean
éposant une caresse humide qui la fit frissonner. Sa langue dessina des arabesques feutrées
oile un trésor ancien. En un instant, elle se retrouva nue sous lui, vulnérable, offerte - et pourtant, jamais elle ne
s peaux éveilla une décharge électrique : la dureté fiévreuse de son corps contre sa douceur la fit soupirer. Ses doigts s'égar
ment ses jambes avec le genou, leur offrant plus d'espace, plus de liberté, plus de promesses. Leurs membres
comme si elle était faite de porcelaine, sacrée, précieuse. L'émotion monta en elle comme une marée,
temps. Rêvé de ce moment, espéré q
t de gêne, balayé aussitôt par la sensation vertigineuse de complétude. Ils s'emboîtaient
mains caressèrent ses hanches avant de glisser à l'intérieur de ses cuisses, les écartant davantage pour l'accueillir p
endre avec une faim à peine contenue. Elle le serra plus fort, son orgasm
ura-t-il, sa voix rauq
hanches, l'encerclant, le guidant plus loin, plus fort. Il gémit dans sa gorge, puis relâcha son so
Il la tenait, la couvrait de sa chaleur, comme
me, souff
poids sur le côté, puis l'attira con
monna-t-il da
se
que tu sois revenue v
une honte cuisante. Elle ferma les yeux pour retenir les larmes qui brouillaient sa vision. Quelle idiote... Que fer