Adieu, Alan : Le Conte de Fées Brisé
ion était
r mon côté me lançait une douleur sourde. Officiellement, j'
te a été de prendre mon télépho
je viens
se. « Juliette ? Qu' est-ce qui se passe ? Tu ne devais p
changé d
iage. Alan et Carole m' ont dit que vous
son me parcourir. L
te. C' était Alan Evans, mon petit ami. Il tenait un petit bouque
. Je suis tellement désolé,
baiser sur mon front, ignorant c
age, ce visage que j' avais aimé pendant sept
icultrice passionnée, et il était l' héritier d' un prestigieux domaine viti
es difficultés, je n' ai pas hésité. J' ai travaillé jour et nuit à
que. Alan et sa sœur, Carole, qui était aussi ma m
mes aux yeux. « Si nous ne trouvons pas 150 000 euros immédiatement, nous al
plaît, Juliette. Tu es comme une sœur pour
e mon grand-père. C' était mon trésor, le soc
r, comment aurais-je pu refu
onné les 150 000 euros. J' ai sacr
ière une porte, j' a
sseur. Sa voix était froide, calculatrice, si diffé
oir avoir sa greffe. Juliette a tout gobé. E
st bien naïve. Et Carole a
r. Elle sait ce qui est le mieux pour moi. Et
s' est glacé. La trahison était si profo