Trop Tard, Monsieur le PDG : Mon Deuil, Votre Ruine
s pieds nus me faisait frissonner. Une nouvelle contraction
appé à
re ! S'il t
la musique, les rires, les basses couvraien
ouffle court. J'ai vu mon reflet dans le miroir sale. Mon visag
le se battait pour vivre, et son père
us rapprochées. J'ai glissé le long du mur, m'asseyant su
son ne sortait de ma gorge. Ma vision s'est brouillée. Les sons
vue avant de perdre connais
de temps s'est écoulé
employé de l'hôtel. Il avait l'air terrifié.
de bain de service, deuxième é
s, le visage d'un secouriste au-dessus de moi. On m
murs, l'odeur d'antiseptique. Une infirmière se
. Je suis
esoin d'en dire p
t. « Nous avons fait tout ce que nous pouvions,
. Ma fille. Mon étoile. Elle était
it Luc. L'infirmièr
é de le joindre. I
ec Manon dans un palace parisien. Il avait éteint son téléphone. Il n'a jamai
ort, une nouvelle force est née en moi. Pas de larmes. Pa
er. Ils allai