Le secret d'Ischl: Les enquêtes d'Emerenz et Hansel

pit

it de sangloter, l'avait prise par les épaules et aidée à descendre le vieil escalier de pierre afin de la mener respirer au grand air. C'est là qu'ils avaient vu arriver quatre policiers en uniforme dont l'un d'eux, qui avait le pas encore plus décidé, semblait être le chef. C'était un grand homme d'une quarantaine d'années, brun,

s pu dire de sensé après une telle découverte ? Progressivement, les sanglots avaient disparu pour faire place à un abattement et un calme qui avaient gagné également Hansel. Cependant, à la vue d'Aloïs, ils se rév

vais vu une telle chose ! Le commissaire Fuchs et ses hommes en

pour un policier ! J'espère qu'il

u'elle avait mis le doigt sur une très étrange affaire qui tournait au drame... Rien ne voulait dire pourtant qu'ils devaient se sentir responsables de la mort du journaliste de « l'Abendzeitung ». Cela restait encore à déterminer... Max avait peut-être, avant même qu'Aloïs ne le contacte, inquiété le meurtrier par certaines découvertes compromettantes. Hansel eut le pressentiment qu'ils n'en étaient qu'au début de leurs surprises et que d'aut

us resterons ici à nous lamenter que ce pauvre Diettlmeier reviendra à la vie. Nous devons prendre quelques forces avant de décider de ce que nous voulons faire... Après tout, n'est-

. Elle brûlait désormais totalement d'impatience de s'y jeter et de partir en quête de la vérité. Elle voulait aussi le faire en mémoire de l'impératrice qu'elle vénérait tant. I

ais bien besoin d'un remontant ! J'ai

mmense Karlsplatz, bordée de voitures à chevaux attendant les clients, emplie de passants lorsqu'une calèche les frôla puis s'arrêta un peu plus loin... Arrivés à sa hauteur, ils virent un superbe pommeau de canne d'argent et d'ivoire sortir par la fenêtre ouverte et faire de pe

mte, c'est un grand plais

que je vous ai maintes fois demandé d'utiliser ce merveilleux prénom dont mes che

atée de soie sur laquelle brillait une pince en or. Visiblement, cet homme avait une classe toute noble à laquelle Emerenz était habituée, côtoyant au quotidien la clientèle du « Wilder Mann ». Elle ne se sentit donc pas plus impressionnée que cela par le titre qu'avait énoncé Aloïs. Son naturel et sa spontanéité passaient toujours très bien auprès de la noblesse qui descendait à l'hôtel. Elle connaissait les bonnes manières et avait fini tout naturellement par les adop

entez-vous p

et sa fiancée, Mademoiselle Kellermann, qui

er par sa condition. Non, en réalité, ce qui la perturbait à ce point, c'était le fait d'être présentée comme la promise d'Hansel qui, chaque fois, en semblait follement amusé. Avançant vers la portière, elle se rendit compte que ce qui la préoccupait

loïs, je vous présente mon ami,

Je suis persuadé que vous êtes à la hauteur de sa signification ! J'

ue Maria, Theresa ou Anna. Aussi se sentit-elle flattée qu'un personnage de cette importance en fasse mention. Elle trouvait personnellement « Emerenz » très doux et plein de personnalité. Cependant, elle n'avait jam

e découvrir notre belle ville, se trouvent pris au cœur d'une intrigue aussi incroyable qu'inattendue

e se teintèrent d'une lueur de fasc

rs d'envie que vous me parliez au plus vite de ce mystère ! Je vous en prie, venez donc dîner ce soir afin que no

e sa canne le plafond de la calèche qui démarra en trombe, lais

monsieur le Comte ne vous aura pas laissé

rnée la plus folle de toute son existence, ajouta Hansi avant

bien finir par me réveiller et réaliser que tout cela n'est qu'un rêve ! N'est-ce pas ? Et puis, il m'est impossibl

aussi sympathique avec ce milieu auquel Hans et moi-même appartenons ? Von Griesbach est un moderniste, un intellectuel très ouvert et curieux de tout, qui ne pratique aucune ségrégation et qui considère toute personne en tant qu'être humain. Je pense au contraire que le fait de pouvoir lui parler de cette affaire pourrait nous aider à la résoudre trè