Briser le Cycle Toxique
onvalescence se passait dans ma petite chambre, au der
ur Berlin, ou plutôt, pour
jardin pour prendre un peu l'air.
ontaine Médicis miniature que mon père
é, un sourire nar
e reposes ? Tu as
ocation. J'ai voulu
celui qui n'était pas ble
comme ça ? On n'a p
, il a glissé, ou fait semblant de glisser, m'e
dages. Une douleur aiguë
resser, l'eau sale m'e
en courant, aler
otant et criant : « À l'aide
ntoine à sortir de l'eau, le so
étais là, trempé, grelottant, l
e. « Léo, pourquoi as-tu fait ça ? Je sais que t
vers moi, le visage
re à Antoine ? Il est si fragile ! Tu veux sa mo
nard. Plus douloureux que la chute
lait, de froid, de douleur, de d
chambre. Mes parents étaie
s ! » hurla mon père. « Tenter
famille ! » enchaîna ma mère, les larmes au
o. Chloé aime Antoine. Ils vont s
uleur, l'injustice, l
risée. « Vous m'avez tout volé ! Ma vie, mon identi
. Violemment. Ma t
st à nous ! Si tu oses dire un mot de cette histoire de "Murmur
Ils me contrôlaient. J
est entrée dans la c
oi parlez-vous ? » dema
changé d'attitud
e avec un sourire forcé. « Léo
loin. Son regard s'est p
naître ses torts, il faut le punir sévèrement. Enfermez-le dan
Mes parents ont ac
ée, Chloé. Cela
eur physique, par le choc émo
ues m'ont emm
humide et sombre. L'odeur de
Seul. Dan
ues. Chloé, aveugle, dans le chât
c la réalité éta
rte s'est ouverte. Chloé. Une
fin compris ta faute ?
entement. Oui, j'ava
. D'aimer une femme qui ne voyait q