La Seconde Chance d'Amélie : Quand l'Amour Tue et Libère
c
t, le corps tremblant, la sueu
Les coups. La doul
e la mort : "C'est ce
ci
t, j'avais l'impression
mon corps. Pas de sang.
ués à la pénombre. Ce
e. Ma chambre à l
m'a envahie. Un rêve ?
s. La honte, la douleur
mains. Elles semb
ur ma coiffeuse. Mon ref
is morte. Il m'avait
. La date. C'était le jour.
avait suppliée de do
ière vie, j'
échine. J'étais revenue. J
, de mon amour aveugle pour Luc
s quand j'avais dix ans,
r ami, un architecte célèbr
sauveur, ma s
is grandi en l'admirant, puis en l
grave accident sur un chantier. U
Je lui avais sauvé
n Lucian,
soir, submergée par mes sen
t, ou je
se. Ses yeux, autrefois si chaleure
t installé entre
sé, mais l'espoir pe
, un mannequin en vogue, avait souf
i douce, si fra
lu que je sois la seule com
enu me voir, l
ppliante. "Chloé... elle va mourir
yeux implorants, les mêmes
son rejet après mon baiser, la jalou
pondu, la voix tre
était
tait transformée en une
ce avait é
urnal intime. Il l'ava
i, mes pensées les plus
tais devenue une paria à la Sorbonn
ersaire suivant, il
Je me souviens de
s silhouettes mena
és dans ma mémoire : "C'es
laissée là,
atroce, mais la douleur
mon amour, m
nt, j'étais
il allait me dem
chambre s'est o
tait tendu, anxieux. Exactem
st app
fausse douceur qui me donnait la nausée. "J'ai