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Interdit mais irrésistible

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1652    |    Mis à jour : 19/06/2025

r vers nous, la mâchoire contractée, le regard noir. Un frisson me

astian se retourna instinctivement pour suivre m

ère sans préambule, d'un ton sec et brutal. Il saisit Sebastian p

, mai

e passerait si tu recommençais a

ropre fils, devant moi, une quasi-inconnue, me sidérait.

a, je

rogna-t-il d'un

oulais détourner les yeux, mais je n'y parvenais pas. J'étais comme happée par cette

plage. Aucun fils à moi ne gâchera sa vie

son bras de l'étreinte de

e, je l'ai achetée. J'ai travaillé pour me la payer

nonçait l'explosion. Je crus, l'espace d'une seconde, qu'il a

'un ton venimeux avant de tourner le

age était tendu, tiraillé entre la honte et la colère. Je sentis une

murmurai-je, la voix à peine a

ce à l'humiliation qu'il venait de vi

J'ai hâte de quitter cette maison », lâcha-t-

ssi dès que l'occasion s'était présentée, pour fuir ma propre mère ? Mes souvenirs me giflèrent avec une clarté dou

ire forcé. Elle avait vu la scène, sans doute entendu

res, lisais-je dan

resservir un ve

verre vide, que j'avais vidé

i », répondis-j

astian ? Un a

armonna-t-il avant de s'éloigne

egard, secouant la t

çon. Ce qu'il d

rs comme ça ? » deman

erchais malgré moi une confirmation. Donna hésit

te Donald. Je suis certaine

imandes cinglantes de Donald, même à cette époque. Ce qui me stupéfiait, c'était que Sebastian, en dépit de cette

'évitai soigneusement Donald et Estelle. Sebastian avait disparu. David, quant à lui, s'était immerg

une résistance. Mon verre vide, mon sourire figé, et l'arrièr

*

ider toutes seules durant la nuit. Je les regardais avec une humeur noire quand une voiture s'arrêta deva

ment tu t'installes. Mon Dieu, tu as du pain sur la planche !

re, et je sentis mes rétice

de temps pour u

Leur compagnie me pesait généralement, mais elle semblait différente,

ce serait

t-déjeuner traînait encore sur le plan de trav

e et s

crème. Tu as d

e et nous nous assîmes, les

allation ? C'est toujours un cau

ngent... c'est plutôt que j'avais un tra

tenance. - Enfin bon, ces caisses ne vont pas se vider toutes

mais si tu veux, je peux repass

rte d'entrée. J'espérais de tout cœur que ce n'était pas une autr

r, madam

ire, vêtu d'un jean déchiré et d'

te revoir, Sebastian. Que

cartons à déballer... Je me s

me prit

uis pas certaine que tes parents verraient d

l, son sourire se fanant à

simplement service à une voisine, dit Donna, apparaissant derrière mo

en la voyant et

fiter de ton aide, dis-je, à mo

, le sourire retrouvé. J

s son dos tandis qu'il p

un clin d'œ

ura-t-elle. Merci pour le café. Appelle-

ebastian au garage. Il avait déjà attaqué avec

igé de faire ça, dis-je en

aider, répondit

-heure avant de l'éconduire, soucieuse de ne

coffres, des cartons bourrés de je ne sais quoi... Deux

re du déjeuner ! m'écriai-je en

us ? demanda Sebasti

qui m'inquiètes. Tes

sa les

de s

s problèmes. Je vais te préparer un déjeuner

clu ! dit-il

les mains. Tandis que j'étirais le bras pour attraper de

prendre pour

'était étrange : je me sentis soudain nerveuse, consciente de sa présence, de ce léger frôlement dan

is-je mala

é qui me mettait mal à l'aise – dans ma propre cuisine, bon sang ! Agacée par m

itron, dis-je d'une voix à moiti

ais goûté ça.

itron avec de

en essayer,

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