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L'Alpha Ne Me Mérite Pas

L'Alpha Ne Me Mérite Pas

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Chapitre 1 1

Nombre de mots : 1267    |    Mis à jour : 13/06/2025

x

ment en elle, mais incapable d'atteindre l'extase. J'avais tout tenté - de la domination à des positions inédites - pourtant rien ne déclen

mais mes jambes ont fini engourdies. Puis, elle m'a suggéré une position nommée « L'Abeille Époustouflante » : elle au sommet, accroupie, permettant à mes mouvements d'explorer

s amoureux, et l'attirance entre nous est presque inexistante. Pourtant, nous sommes là à discuter de « vrais compagnons

as forcément la nommer. Mais la véritable marque du compagnon ne se révèle qu'en s'unissant – littéralement. Nous étions à la fois frustrés et intrigués, alors no

ais à en juger par notre incapacité à aller au bout aujour

onville ne change rien à cela. J'ai hérité de ce rôle, mais il ne m'a pas été donné par un coup de magie. Si le loup plus âgé qui m'a d

r las. « Ça ne marche pas, chef. Je vais rentre

doigts ici, » dis-je en serrant

tire, et ma verge retombe en faisant une éclaboussure humide

as, comme aucun autre lien superficiel n'a fonctionné. Même quand je parviens à l'orgasme, c'est une déception de regarder en bas et de constater que mon bras reste non marqu

usé et découvre un message en attente. Je me réjouis un instant de cette distrac

mes scouts de loup,

u'une cellule, perdu au cœur boueux de Jacksonville, en Floride. Le vent portait avec lui une lourde odeur de pluie mêlée à celle de

mort, cette fois. » Un frisson de rage me traversa comme un coup de couteau. Je déchirai mes vêtements avec une violence contenue, incapable de

e des tempêtes incessantes qui s'abattaient sur la région. En face, la maison beige délavée, barricadée de planches, semblait condamnée à l'abandon – une victime silencieuse de cette folie climatique et surnaturelle

de l'intérieur. « Putain de vampires », murmurai-je entre mes dents serrées, jurant contre leur soif insatiable et

t étouffé de mon second – mon frère de chasse, mon compagnon d'innombrables nuits, fauché san

ans ma poche, enfile mes vêtements avec la rapidité d'un fauve, et sors de ma chambre. Les bottes de cuir claquent sur le vieux plancher

ndre ces murs fatigués. Aujourd'hui, je

e-toi », souffle un

çoire du porche. Petite mais solide, avec ses cheveux d'un noir profond tombant en cascade sur une épa

aller dans cet é

encore », je réplique, le sa

nervosité trahie par le geste nerveux qui repl

cette

» Elle s'approche, posant sa main ferme sur mon bicep

c'est raisonnable de partir comme ça, à moitié fou de rage ? Ne

ant lentement. « Tu as sûrement raison, mai

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