L'ordre des Gentleman
fectionné son look avec un costume Prada et une teinte de cheveux noir corbeau. Il assurait que sa co
aient ressortir sa peau laiteuse et ses grands yeux bruns envoûtants. Ajoutez à cela une robe à couper le souffle, un maquillage intense et les talons les plus
la faisait se sentir différente, et elle avait justement
e porte de l'auto-apitoiement et la folie qui en déboulait l'e
tait le moment idéal pour cocher
tour et retourna vers un kiosq
rêter une minute, je doi
ant, mais elle savait que Carlo n'était pas le rêve de Craig. C'étai
procha du
cigarettes, s
anda un homme grêlé en levant
. Vous préfér
dit-il froidement, les
rds, mais ew. En d'autres circonstances, elle aurait été outrée
a regard
tu fais ? demanda Craig, visiblement
s nouvelles expériences. L
. C'est ce que je fume. Quand tu t
e Carlo serait hors
s, s'il v
cacher sa désapprobation
d'alléger l
ont avec
surtout ave
uel point ses mots po
écor parfait pour les amateurs d'art et les gens chics venus pour le vernissage. Leur petit trio n'ava
t : les plus beaux de Paris se retrouvaient là pour bavarder, séduire et flâner parmi l'art. Le murmure de voix feutrées, les rires maîtrisés et le
lai Stavros. Il apparaissait sans cesse dans les pages mondaines. L'artiste, tout en grâce, se mêlait à ses invités, souria
très grand, très séduisant - s'approcha. Élégant dans s
se
e d'intérêt dans les yeux de
ravi que tu sois venu, dit l'homme en
ur rien au monde, répondit Craig en rendant l'embrassade. Je
t qu'il avait vis-à-vis de Carlo. Jerard le capta aussi
n plaisir de vous rencontrer.
. Elle prit une flûte et la leva vers Jerard,
er que son loyer mensuel, semblait couler sur lui sans effort. Une écharpe noire et grise enroulée avec soin autour de son cou tombait sur un t-shirt de soie. Des bijoux masculins massifs, des cheveux som
m'a parlé de vous à plusi
venir à Craig, qui rougit. Malheureusement pour Craig, la manière dont Jerard posa brièvemen
nez. Il faut absolument que vous rencontriez Julianne. Elle est le modèle de t
ix de Jerard. Mais il était pratiquement un inconnu, alo
ce bondée et s'arrêta devant une petite femm
ésente Isabella,
Isabella ne put que la contemp
ommes honorés de vous compter
artreuse brodée, mais autour d'eux, les œuvres la représentant nue étaient omniprésentes. Et dans la plupar
pire encore, pour le montrer à des étrangers ?
tion, quelqu'un attira l'attention de Jul
xpérience. J'espère q
aussi belle qu'elle, mu
ourrais faire pleurer un homme rie
déposer un baiser sur
é. Rappelle-toi ce que je t'
lui s
pagne. L'atmosphère était à la fois exaltante et intimidante. Une pièce
'il s'agissait d'une photographie peinte par endroits. Julianne ne portait que des chaussons de danse rose, dont les longs rubans s'enroulaient en un m
Pink, par Nicolai Stav
un immense écran HD suspendu à l'arrière du mur. Julianne y apparaissait, plus grande que nature, adossée à une paroi de lucite. Un homme torse nu, vêtu d'un pantalo
amilier. La scène la captivait. Sa bouche s'entrouvrit alors qu'elle obser
en une dan
colai se pencha pour embr
ux embrasa l'imagi
alité du geste... Que ne donnerait-elle pa
er, Isabella resta là, hypnotisée, tandis
l'intensité de son regard. Elle ne se rendait compte de rien, en fait, sauf de l'image projetée à l'écran. L
plier un baiser. Il pouvait presque percevoir son excitation et imaginait ses mains glissant le long de ses cuisses soyeuses pour y découvrir une moiteur secrète. Lorsqu'elle croisa les jambes dans un mouvement
tourbillon complexe d'émotions qui traversait son visage alors qu'elle observait Nicolai tourmenter Julianne. Elle était à la fois fascinée et terrifiée par ce qu'elle voyait. Et peut-
ait indéniab
lianne avaient tenté de produire. L'espace d'un instant fugace, il imagina cette femme comme une autre Julianne. Nicola
lus âgée, plus mûre, elle avait, comme lui, côtoyé les ténèbres de l'exis
ra les mots
e voir cette exposition, vous pourriez découvrir, tous les deux, ce que Nic
ce pos
re ne frappe j