Trop tard pour fuir
aire son travail, elle alla décrocher. C'était sa belle-mère, et Cassandra se
eureuse de Mme Roland. J'ai appelé il y a une
iment devoir engager un comptable un de ces jours. Même avec une cal
des années, et d'après ce que j'ai entendu, Paul a une excellente réputation. Je pourrais lu
nt Cassandra. Et ce serait un souci de m
dit Mme Roland avec conviction. Tu sais combien les
ce chaleur naître en elle. Tu sais, je n'aura
ire, chérie, mais je n'y crois pas une seconde. Tu l
phrase en suspens, je m'apprête à me verser une t
que c'est ma soirée de bridge. » Et comme Cassandra la reconnaissait avec une exclamation expansive, elle p
a sentit les premières pointes d'inquiétude. «
itation. « Un client, je suppose. Il a trouvé mon numéro dans l'annuaire, à
ssandra se transforma rapidement en une nervos
répondit aussitôt Mme Roland. « Tu sembles
connais à peine. » Elle fit une pause. « A-t-il
si tu étais disponible, et je lui ai expliqué que je n'éta
e sa belle-mère lui avait expliqué son erreur, il avait probablement supposé qu'elle vivait avec son mari. Et comme elle n'occupait cet appartement que depuis un peu plus de six mois, son numéro n'
is le message, » poursuivait maintena
messa
t sa belle-mère. « Cass, est-ce que quelque chose ne
'ai dit, je le connais à peine. Liz nous a présentés aujourd'hui, à la réceptio
maintenant intriguée. « Alors qui
ressentit un certain soulagement à pouvoir parler de l
, ce nom me dit vaguement quelque chose. Ravek ! » Elle le dit en
ra avec cynisme, se rappelant la condamnation sans appel
se lancer en politique, et je crois que j'ai été présentée à lui un soir, lors d'un dîner auquel Henry et moi avons assisté. Quoi qu'il en soit, » ajouta-t-elle avec un
cils. « Mais si le nom de
justement pour cela que je m'en souviens. Son fils
andra mordilla sa
manda sa belle-mère d'un ton inquiet. « Chérie, ne fais pas atten
assandra. « Elle a dit que c'était un salaud. Et j
espérer que non ! On ne peut guère lui
t probablement un article à me proposer. S'il souhaite
était pensive. « Si
ttre fin à la conversation. « Passe une bonne s
n, Cass. B
ne nu
e menton, sans doute le résultat d'avoir soutenu sa tête avec la main tenant son stylo, et elle l'essuya distraitement, tout en réfléchissant à ce qu'elle venait d'apprendre. Pourquoi Jay Ravek l
ient un atout, certes, mais elle les portait courts, dans un style devenu banal. Sa peau était belle, du genre à bronzer malgré ses cheveux clairs, mais ses traits étaient quelconques, et seuls ses yeux attiraient vraiment l'attention. Ils étaient grands, verts, avec des cils recourbés qu'elle avait l'habitude de fonce
trange qu'elle ne soit pas intriguée, mais son bon sens lui murmurait qu'il serait peut-être plus sage de ne pas s'en mêl