L'alpha envoûtante
e vue d
e que je connaissais depuis toujours, ce foyer que j
pas. Rien ne pouvait
ritage. La pression de ce qui était attendu de moi, ce que je devais deve
e n'étais qu'une guerrière parmi d'autres. Et la règle était claire : seule une lignée mas
ours été là, mais je ne les avais jamais vus. Mon père et ma mère, eux, les avaient to
e vivre, me laissant dans l'ombre, ignorant que ma f
r moment. Un instant d'inattention, un moment de vulnérabilité
a Luna, elle aussi, morte dans l'instant. Un coup port
avaient conspiré contre ma famille. Ils avaient planifié cela depuis longtemps, sans que je ne le sache. To
sparition serait suspecte, que des traques commenceraient. Mais au fond de moi, j'avais une conviction profo
. Ses yeux émeraude argentés, son regard perdu, son visage gravé dans
lui. Comme un instinct. Je n'avais pas de plan précis, mais je
e ruelle, je me sentais toujours observée. C'était un endroit comme un autre. Un bar. Un endroit bruyant où les rires
ensée être là. E
n corps avec un intérêt évident. L'odeur de l'alcool, l'arrogance de son attitude m'ont im
mais sa manière de s'approcher m'a glacée. San
ent sur lui. Une pression violente. En un instant, il se retrouvait pro
estent d'une manière étrange, violente, incontrôlable. Mes yeux brillent comme des pierr
arda avec des yeux emplis de peur, son co
a voix, froide et tranchante, n
façon, je n'étais pas là pour ça. Je n'étais là que pour une chose
je n'étais pas vraiment seule. Des meutes me cherchaient, certaines plus proches que je ne l'imag
un pouvoir immense en moi, et qu'il voulait le contrôler. C'était pour cela qu
it. J'étais prête à tout, à affronter n'importe quel danger. Après tout, je
isait. J'étais prête à tout, à affronter n'importe quel danger. Après tout,
e, une vérité cruelle : je n'
is qu'un
combats que j'avais menés, il y avait toujours ce mur, cette barrière invisible. L'Alpha n'était pas une place pour une femme. La meute, tout comme la
contenter de rester dans l'ombre ? Pourquoi devais-je accepter de n'être qu'une ombre d'Alph
les de cette société patriarcale. Mais une autre partie de moi, la plus forte, refusait de se soumettre à ces diktats. Je voul
ion de rester une spect
me marier, à m'apprivoiser. Mais je n'étais qu'une pièce dans un jeu de pouvoir qu'ils voulaient contrôler. Leur désir d'a
ien je m'entraînais... je n'étais qu'une fille
secrète, plus intime, qui me disait que, malgré tout, je finirais par être celle qui dirigerait ce
Et un jour, personne ne pourrait plus m'empêch