Lié par l'amour

ns pl

douleur ne m'avait jamais quittée. Chaque souvenir, chaque jour qui passait, me faisait la regretter

l avait l'habitude de dire que, lorsque je grandirais et terminerais mes études, l'entreprise familiale me reviendrait. C'é

ant "amis de la famille", c'est ce qu'il avait dit. Je ne les avais jamais

à l'allure sérieuse, et à leurs côtés, un jeune homme d'environ seize ou dix-sept ans. J'ignorai son

art le plus possible. Jusqu'à ce que le jeune s'approche et s'assoie à côté de moi. Mal à

x, hein ?

tête. Lui aussi, apparemment,

e tu es très timide. Tu

joues étaient rouges. Je portai mes mains

mon rougissement s'accentua davantage lorsque

ourire magnif

le faire plus souvent, tu as une très belle voi

t à sourire ainsi, et je ne voulais mê

oi... je d

, mais il attrapa ma

aisse pas seul avec eux - fit-il un signe de tête

passer du temps avec une adolescente. Il

rement ondulés s'échappaient de sa coiffure presque parfaite. Ce qui m'attira le plus, ce furent ses yeux

me confia qu'il rêvait de voyager à travers le monde, d'en photographier chaque recoin. Sa pass

is condamnée à rester ici et à gérer une entreprise par devoir. Comment p

agédie, née dans une famille où l'avenir était déjà décidé. J'espérais devenir courageuse et déterminée comm

plus grand souhait était d'intégrer une des meilleures écoles de design de mode. C'était mon talent, mon rêve. Je dessinais depuis toute petite, un don héri

c'est là qu'était né mon talent. Elle m'avait toujours so

jamais à tes rêves. Fais ce que ton cœur te dit de

re. Et depuis, je m'accroche à mes rêv

Mais je ne sais pas pourquoi, ce garçon m'inspirait confiance. Assez pour me confier à

s levâmes pour rejoindre nos familles à table. Tandis que nous di

le vieil homme - C'est bien que vous vous entend

r à moi de cette manière. Ils ne me connaissaient même pas,

ntionné que nos parents étaient de vieux amis proches, liés désormais par les affaires. Mon père

dame me fit rougir a

eule famille ? Nos noms unis dans

arlait ce

antage, avec nos héritiers aux commandes - ajouta l

ondre. Avant de le faire, il

jeune pour cela - dit-il avec un faux

rnom pour m'appeler. Celui

rlons de l'avenir - p

me pas là. Comment pouvaient-ils ne pas donner leur avis sur le futur de leur propre fils ? Qu

ne comprenais pas vraiment ce que les adultes voulaient dire. Mais ce qui était clair, c'est que lu