Banquet asiatique: Invitations ciblées sur l'Isle

e par beaucoup d'interdits et que je ne déteste pas certaines pratiques ni utiliser certains accessoires. Peu importe ! C'est sans doute pour cela que Charles m'a

de ce jour qu'avec Jenny nous nous sommes rapproché tous les trois. Pendant ce temps-là, Charles et Annabella ont tissé une idylle qui n'a pas duré.

ser par la seule force de sa séduction. Elle est la plus mortelle des armes. J'en suis devenue une experte. Une expérience me manque cruellement. Je ne me suis jamais invitée dans le rôle de la femme vraiment perverse et vénéneuse. Avec In Soon, j'aurais l'occasion de prendre la pleine puissance de mes talents. Si je n'y arrivais pas seule, Jenny m'aiderait à imaginer l'inconcevable. Je ne pouvais réellemen

sans m'en parler. Comment ont-ils procédé ? Je n'en ai pas la moindre idée. Quand j'ai reçu l'avis de décès de Sean, un poids s'est libéré de ma poitrine et mes cauchemars ont cessé. Ma sœur Mary me l'a fait parvenir, en me promettant qu'elle serait allée cracher sur sa tombe, s'il n'avait pas été incinéré et ses cendres dispersées, selon ses dernières volontés écrites quelques semaines avant sa mort. Curieux pour un catholique pratiquant, non ? Ainsi, il devient impossible d'effectuer une autopsie. Ce qu'avait fait ce cochon d'Irlandaisne regarde que ma sœur et moi. Depuis mes quatorz

faire moins, vou

armonieuse, d'une sculpture dérangeante ou surprenante, de la caresse des rayons de soleil sur sa peau, de ses frémissements en plongeant dans un bain brûlant ou sous une douche glacée, et bien sûr de la sexualité : un peu comme déguster un Graigellachie, peindre des poteries, parler affaires ou échanger sur les haïkus, et que sais-je encore. Je ne peux prétendre comme Sir Winston Churchill que le secret de ma vitalité provient du fait que je n'ai dans le sang que des globules rouges : l'alcool a tué depuis belle lurette tous mes globules blancs... Moi, j'aime bien savourer un alcool, surtout u

Gulliver, avec Le Grand Mystère. Dans ce recueil, cet Archevêque de Canterbury décrit le plaisir que l'on éprouve à... déféquer. Je n'évoquerai pas cet apaisement quand s'évanouit la pression qui comprime mes intestins en s'évacuant. Moi, j'adore aussi me retenir avant de vider ma vessie. When you learn geography, ou en allant à la chaise percée si vous préférez, on sent cette douleur disparaître lentement pour se substituer à un plaisir inavoué, en même temps qu'on se soulage. Quel bonheur ! Chocking ?Alors ainsi, vous vous offu

ées et les Confessions d'un pêcheur ; de Sir Walter Scott à l'œuvre censurée à l'époque victorienne ; ou de bien d'autres. D'accord, certains de ces auteurs sont Irlandais, mais ce sont des exceptions qui confirment la règle. S'ils avaient émigré en Écosse comme leurs ancêtres Gaëliques, nous les aurions accueillis à bras ouverts.

nd de catastrophe annoncée, quitte à déserter l'Histoire. Si on souhaite apporter un éclairage sur ce qui nous arrive, ce dernier ne pourra être que modeste, approximatif, tâtonnant, révisable. Or c'est le contraire qui se produit. Moins nos élites comprennent, plus elles assenent des opinions politiquement correctes en utilisant la langue de bois internationale. Les dirigeants nous mentent, nous savons qu'ils nous mentent et ils savent que nous le savons, pourtant, ils continuent. Plus personne ne les prend au sérieux. Il suffi

tous les cinq adhérons au même club, nous préférons jouer ensemble. Le cinquième reste sur la touche ou s'occupe de faire le service. D'ailleurs, les membres du club ont changé nos noms qui devinrent pour Jenny Feaze, Gin-fizz ; pour Kazuo Matsusake, Saké ; pour Charles Blitz, Chablis ; pour Annabella Valpolicella, Valpolicella ; quant à moi, Lady Moira Pennyquick, j'étais leur banquière. Ils nous ont qualifiés du gang des apéros. Ah ces Frenchies! Cela ne m'em