Mon Mari, Cet Étranger !
, elle murmura : « Jo, nos parents sont souvent ceux qui nous causent le plus de peine. Ils oublient que nous ne leur appartenons
ête. Nos ? Pensai-je. Que voulait-elle dire par « n
différentes. Notre amitié était d'ailleurs si inattendue qu'il m'arrivait de la re
ée trémoussait toujours devant le mien et elle se retournait pour dire : « si tu n'avais pas cette mine attachée tout le temps et ces tresses au fil, on te regarderait aussi. » Le sourire su
à penser que sa peau luisante étai
ui en vouloir d'être ce q
s. Il paraissait heureux, mais je soupçonnais qu'il n'était avec elle
ait un espoir de sortir de la pauvreté
penser à son aîné et au jour où il m'avait fait promettre de toujours veiller sur son petit frère. Plongée dans mes pensées, j'étais comme dans un mirage et commençais à m'endormir lo
que je détestais grandissait tandis que mes yeux fixaient so
a peau ? Comment pouvais-je penser à moi,
e côté, comme si elle cachait sa douleur pour compatir à la mienne. Mais une ombre bloqua l'accès à la lumière dans la pièc
aire de l'ombre aux rayons de soleil, elle qui avait été élue Miss du lycée pe
ue de sa présence innocente. Les sourcils froncés, elle vint ve
de politesse aux lèvres. Sans même la regarder, Esméralda poursuivit. « Mon père est déjà en train de planifier mon vo
uvieuse et glaciale où Esméralda, bravant le froid dans sa chemise, n'était pas im
'être tombée amoureuse. » Ami et moi échangions un regard. Un rire nerveux s'échappa de
s regards perdus dans le vide. Aminata se mit à pianoter nerveusement sur la table, avant de murmurer. « Je rêve d'avoir une relation comme celle-ci. » Un grain de sel d'amertume me serra la gorge et un
ges. Un sourire froid et triste traversa le visage d'Ami, comme pour tenter de faire croire à un mensonge qui la détruisait. Elle tourna de nouveau son
erons pas, je te promets. Sinon, quel genre d'amis serions-nous ? » Avec délicatesse, elle posa sa main sur le bras d