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LA PRISONNIÈRE DE LUXE

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1479    |    Mis à jour : 22/03/2025

asser toute sa vie dans la solitude. Non pas parce qu'il ne veut pas se marier mais parce

sa carrière exigeait une présence féminine, que pourrait-il donc faire ? Aucune femme ne l'intéresse actuellement. D'ailleurs, depuis sa

à l'hôpital. Il avait à nouveau eu une crise. Son état empirait de jour en jour et ses filles en souffraient. Il était la seule famille qui leur restait. Laurena passa

lle pour prier, lança

à ton retour, répondit Victor qui était as

lle avait en sa possession d'ailleurs. ‹‹ Maman, tu me manques tellement. J'ai tant besoin de toi. Dis-moi quelque chose. Montre-moi un signe. N'importe quoi qui pourrait m'aider à sauver papa. Je sais que ce n'est pas encore le moment pour lui de s'en aller. Je ne supporterai

les larmes de son corps dans cette chapelle, jusqu'

**

mille G

ge et se précipita vers le médecin, av

la fille aînée. Est-ce

moi madem

t entrer dans son bureau, un espace lumineux et propre, avec un bureau en bois, des étagères remplies de livres médicaux, et des diplômes

prenant place sur une chaise. Dites-moi qu'il va s'e

ant, il faudra le faire assez vite si on veut espérer quelque chose pour lui. Le visage de Laurena s'obscurcit et des larmes lui coulèrent sur la jou

fois, il vous faudra sept cent mille fra

le en était juste incapable, impossible pour elle de trouver cet argent. Et quelle réponse pourrait-elle donner au

aximum pour rassembler la somme et

plus, mademo

balbutia-t-elle. Alors lai

t qu'il faudra également assurer les frais d'h

up de

bien sûr, bre

out ira bien pour votre pè

it à tourner. Un vertige la saisit, menaçant de la faire chuter. Elle vacilla, mais pa

sseyez-vous, je vais demander à ce qu'on

juste besoin d'air, dit-ell

Victor en essayant

her de la suivre. Ne dis rien s'il te plaît. J'ai..., j'ai besoin

evan. Laurena adorait la mer et elle ressentait en ce moment, l'immense désir de se confier à elle. Laurena trainait ses pas sur le sable fin qui lui brûlait doucereusement la plante des pieds, sous la chaleur tendre du soleil en cette matinée-là. Elle tenait dans sa main la photographie où figurait sa mère et elle. Juste en bas étaient notés leurs noms respectifs: Juliette GARBA et Laurena GARBA. Elle contemplait le sourire de sa mère sur la ph

, elle souleva la tête pour regarder la pers

? lâcha-

u corps. Mais cette fois-ci, il était seul. Enfin, pour l'instant. Elle remarqua qu'il avait les yeux sur elle tout e

ous avez l'habitude de ne pas r

regardait-il ainsi ? Elle se souvint que son visage était rempli de larmes. C'est donc la raison pour laquelle il la

? Laurena jeta une fois encore son

ogea-t-il. Elle leva les yeu

rivé ? C'est pour ça

... E

ueilleux ? Un vague souvenir de leur première rencontre désagréa

a peut bien vous fa

ouardo SMITH

en à foutre, ok

intention mauvaise. Je

s vous. Allez-vous-en, Partez, partez, cria-t-elle en pleurs

itation, Edouardo rebroussa c

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