L'Alpha Perdu et Sa Seconde Chance
pit
pouvait trahir une présence. Gabriel n'aimait pas l'incertitude. Il dirigeait avec une main de fe
que chose
it aux frontières de son territoire. Les rapports s'accumulaient, des murmures de lo
avec ce regard trouble entre la peur et l'incréd
est e
yllabes qui firent
na
ore. Il fit taire l'éclaireur d'un regard tranch
er libre. Trouvez-le.
il n'avait pas b
it plus fort que lui. Maintenant, il était certain q
s son dos, une tension soudaine dans l'air. Il pivota juste assez tôt pour éviter
uis une troisième. Ils étaient plusieurs. Pas des nov
une voix qu'il
eutenants de la meute. Fid
as. On sait que tu es là depuis des
terrain. Ils étaient au moins cinq. M
tre lui, le projetant contre un arbre. Un deuxième tenta une prise, mais Jonas se baissa à temps
lui, at
juste te rendr
s ri
allait m'accueill
is ça éviterait que tu
aissa, sentit la morsure de la douleur alors qu'ils ro
le repoussa avant de bondir sur ses pieds. Mais il av
rûlure d'une griffure le long de son bras. Un autre attaqua, et cett
rd
ession contre sa nuque. Il grogna,
i, Jonas, s
Pas e
pas à cette explosion soudaine de force brute. Il pivota, utilisa l'élan pour inverser la position
ce dont Jonas
r ses jambes, et di
résonnèrent, mais il ne ralentit pas. Il connaissait
sa poitrine, son souffle court. I
tension avant même
e, son énergie irradiant un mélange
s qu'il ét
t pas une
e forçant à ne pas mont
ert comme toi, d
et tu regrettera
e jouait pas. Il la scrutait,
ais pas, ré
rès. Son regard brûla
'a app
répond
pesant. Puis Gabriel so
te. Il tomb
raversa. Pas de
é, n'est-ce pas ? souffl
-t-il. Jonas est un problème
qu'elle avait connu n'était plus là.
e, Gabriel. Ils n
ard se
vit. C'est tou
ction de seconde. Tout alla
ne savait pas de que