LE LOUP ET LA FUGITIVE
E 2 : l
t pénétrant, détaillait chaque trait de son visage, chaque mouvement de son corps. Il perce
as fui un m
as autour d'elle comme pour se prot
us, ses filles, devons servir la meute par des alliances stratégiques. Il a déjà mari
t subtil de ses doigts alor
er... il est si terrible que ça
e dégoût et de rage traver
femme soumise à ses pieds. Elle détourna le regard, fixant le sol. Je refuse d'être une esclave, de vivre une vie où je n
it pu revendiquer cette femme, qu'il ait tenté de la posséder c
t-il doucement. Tu as un p
un rire amer s'écha
est bien ça,
epuis quelques minutes, et pourtant, il ressentait déjà ce besoin étrange de la protéger, de l'
s osent défier l'autorité d'un Alpha, encor
jugeait pas. Il ne la traitait pas de lâche ou d'égoïste, comme l'auraient fait
parcourut s
r à me dire ça...
e, un sourire rare, presque i
t'entourer de mei
me brut, ce mélange de force et de douceur qui la troubla
t inconsciemm
entantes, et un désir primal s'éveilla en lui. Il se racla discrètemen
u ne peux pas errer seule comme ça. C'est d
sou
s je n'ai pas
échit un
x rester
rquilla
uoi
onne ne te fera de mal ici. Tu pourras rester un
... Mais en même temps, avai
nier l'attirance étrange
murmura-t-
ocha l
rs su
ient de sceller un destin qui alla
de poussière lui picota légèrement les narines, mais l'endroit était encore habitable. Un vieux lit trônait contre le mur du fo
s lieux en silence avant
ta maison ?demanda-t-elle, son regard brilla
sant les bras sur
d'ajouter d'un ton grave : Ils n'accepteraient pas qu'un étranger, enco
s yeux, son expression se
ura-t-elle, plus pour
la tension qui raidissait ses épaules, la façon dont son reg
d'elle, cherch
lais pas dire ça de
sourire triste et
aison après tout, je ne su
tration. Il n'aimait pas la voir
lara-t-il d'une voix plus douce. J'ai entendu ton histoire. J'a
eux brillaient sous la lumière tamisée de la l
ci, K
é au sien un instant de trop. Il s'é
chercher un repas.
er un petit rire,
acte
ore pourquoi il ressentait ce besoin étrange de la protéger, de s'assurer qu'elle ne manque de rie
t chaleureux. Pour la première fois depuis qu'elle avait fui sa meute, elle ressentait un semblant de sécurité. Les murs de bois, le silence paisible qui régnait
lus de la terreur, juste le contrecoup de ce qu'elle venait de vivre. Elle s'était sentie si vulnérable face à ces
fond, et sans qu'elle ne puisse le contrôle
eras ce que je te dis. Cet unio
voix grave,
là, sentant les larmes lui brûler les yeux. Il est crue
s laisser une gamine capricieuse remettre en cause l'
ue comme une simple monnaie d'échange. Peu importaient ses dés
. C'est fini. Je suis partie.
it. Et s'ils me retrouvaient ? Son père n'accepterait jamais qu'elle lui désobé
ent en sécurité ici ? Elle posa une ma
en de cette meute, de ses règles, de ses dangers. Serait-elle seulement accep
meute ne voulait pas de moi ? Et si j'étais une menac
et s'allongea sur le mat
qu'elle pourrait enfin respirer, être libre... Ou pe