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La Rebelle et le Prince Déchu

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1429    |    Mis à jour : 24/02/2025

ntérieur était plus froid, chargé d'un parfum d'encens et de cire fondue. Le silence y régnait,

couloir qu'ils traversaient semblait plus opulent que le précédent. Les tapis d'un rouge profond étouffaient le bruit de leurs pas, les lustres en cristal projetaien

irait la

enfer

ombres furtives disparaissaient derrière des rideaux épais. Elle sentait

* déclara le majordome en s'arrêtant d

me qui la toisait avec la politesse rigide d

a, je veux voir

, mais elle perçut un écl

insi que les choses

fonctionnent-elle

été traînée ici sous de faux prétextes, et elle refusait

me soupira

si Son Altesse consent à vou

cette porte close qui menait à une chambre inco

e se tourna lentement, observant chaque détail du couloir, chaque sortie, chaque présence

près, son visage aussi im

d dans la salle des audien

*

ette du prince, debout près d'une fenêtre haute, les bras croisés. Il ne se retourna pas i

donc insisté p

ais ferme, imprégnée d

vêtu d'une tenue sombre qui contrastait avec la pâleur de sa peau. Ses cheveux noirs tombaient en

yeux

sant s'instal

i elle s'attendait, mais certaineme

de temps. »** lâcha-t-e

e, cynique, eff

autour du pot. Vous n'a

sang bouillir

re famille a jugé bon de lier la mienne par un mariage arrangé

lle perçut l'ombre d'une

des semaines. Il semblerait que votre

le sentit sa respiratio

... avez r

i déjà choisi que

se dérober s

i n'avait jamais eu lieu. Pour une place qui

'avait-il envoyée en c

eur de la joue pour ret

rquoi m'avoir laissée venir si vous s

ourcil, comme si la r

jeu d'échecs, et que chaque piè

son souffle

suis pas u

a première fois, elle ressentit la

ou non. La seule question, c'est si v

ns les siens, refusant

ai ni pion, ni

léger ricanement f

ous ver

lons sans attendre

t à lui imposer, mais une chose était certaine

ait chaque détail, chaqu

, elle n'avait pas l'int

ûlait la poitrine. Elle n'avait jamais eu son mot à dire, et maintenant qu'elle s

envoyée ici en sachant que l'union n'aurait pas lieu. Mais alors, pourquoi

regards curieux des serviteurs. Sa chambre. Elle avait besoin d'un

ranchi un nouvel escali

i que l'on se promène d

etourna b

ée contre une colonne, un sou

dangereux. Ses longs cheveux noirs étaient relevés avec soin, dévoilant un cou fin orné de bijoux

li de malice.

i êtes-v

lina légèrem

amie du

nèrent comme u

. C'était elle. La femme q

n voyant la réalisation traverser

ent qu'on vous attendait

ait aiguisé c

int son regar

s au moins avoir droit à

n s'échappa des l

neau en or entre ses doigts. **« Vous allez vite apprendre que dans ce p

tendu étai

uve en arquant un sourcil. **« L'

la dans les prunelles

il fallait. Et je cont

s'étira e

rna avec nonchalance, s'éloig

pions qui ne servent à rien f

de l'échine de la louve,

e là un instant,

, un sourire ét

ntielle : si elle voulait survivre ici,

t devenir

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