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Le rêve d'une chute

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1706    |    Mis à jour : 12/10/2021

êchait d'exprimer son habituelle cordialité. Même M. Amzaoui qui osa un timide sourire ne fut pas récompensé et repartit la tête un peu basse et dé

tâches administratives à accomplir avant la fin du dîner et s'y attela. Garder son attention était cependan

es pâle... lui dit

al de crâne, j'ai pris une aspirine,

our commencer le servi

mpa oui, j'ai un peu du mal

, pas de

st vraiment

e-même connu quelques déboires sentimentaux et la gentillesse et la prévenance de Michel lui inspiraient une grande confiance et un soupçon de tristesse aussi ; elle ne com

evenir de la salle à manger, par petits groupes. Ils affichaient des mines diverses, allant de l'indifférence l

a jusqu'à six heures, se dit M

enu. Michel, Aurore et Stéphane, un aide-soignant, se retrouvèrent à nouveau dans la salle de garde. Ils étaient prêts pour une n

étuelle éruption qui lui donnait envie de se jeter contre les murs. Ses collègues comprenaient qu'

pourquoi Aurore et Stéphane commençaie

a va ? Tu f

mmen

it étouffée,

fais vraiment une drôl

t une sorte de ric

! hurla Stéphane. J'appelle

oi ? murmu

llement sur la vision de Michel ; seul le beau visage de l'infirmière s'y détacha encore quelques instants avant que tou

*

mple et routinier, le Chambellan décida quelque temps auparavant d'y être présent le soir pour signifier son implication vis-à-vis de la garde impériale et montrer que le pouvoir politique prévalait sur le pouvoir milita

ntaux escaliers à double révolution qui quadrillaient le palais. Il gravit doucement les marches, ne croisant qu'un clerc qui le salua. Il

rriver finalement au chemin de ronde. Il reposa alors ses d

à quelques centaines de mètres du palais, se dressait la tour de la prévôté, de couleur claire, éclatante dans le soleil couchant et effilée à mesure qu'elle s'élevait. Elle symbo

aine herbeuse, comme elle était surnommée, immense étendue verte à peine vallonnée, ne comptant pratiquement aucun arbre. Dans le lointa

et du palais. Il essayait de partir s'y reposer quelques jours une ou deux fois par an, entouré d'une garde légère, pour réfléchir aux obligations du pouvoir. C'es

jour lointain dont personne ne se souvenait et se tenait là, en sentinelle, face à la plaine herbeuse que le vent parcourait e

g du chemin de ronde. Il y reconnut Tamar, capitaine de la garde nord, qui s'apprêtait à rasse

ambe

Ta

onneur de votre visite

vouer que j'ai un faible pour la garde n

un petit

t pas de nous acquitter de notre

idem

regardèrent comme d

elève

. Je res

es, épées ou pertuisanes levées, et les entrechoquèrent dans un rythme lent avec leur bouclier, une fois, puis deux. Ce rituel accompli, la garde de jour se mit en mouvement et

erminé. Je reste év

idem

ourcil de connivence, Tamar se

s l'Empereu

ire ne se seraient pas p

rochaine personne que je ve

une lueur dans ses yeux pa

ers et les couloirs pour arriver finalement devant la petite po

s réguliers et projetaient une lumière diffuse. Aucun autre ornement n'était visible, même s'il savait que quelques inscriptions, de-ci de-là, coura

e l'Empereur était séparée du reste du palais, et dans cet interstice où il se

nquer d'exercer un puissant pouvoir hypnotique sur un visiteur novice. Mais moins encore que la matière dont elle était faite ; un métal sombre, froid, mais irisé ; sans r

de franchir la distance qui le séparait du propylée. La sensation ne manqua pas de se produire

puya sa

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