La lune de l'ombre
pit
s pieds. La dague, désormais rangée à sa ceinture, semblait encore brûler dans sa paume. Chaque muscle de son corps hurlait de fatigue, mais une pe
s'être tapies dans l'ombre, laissant la brise froide régner en maître. Chaque so
. Son cœur battait contre ses côtes, mais elle serra les dents pour ne pas montrer s
e levée se dressait, couverte de runes gravées qui luisaient faiblement dans l'obscurité. La sur
e. Ses doigts effleurèrent les runes, et une
son souffle. Une tension sourde pulsait autour d'eux, comme s
-t-elle sans oser
les runes s'illuminèrent d'une lumière aveuglante. L'espace autour de la clairière
, son corps en alerte. Puis,
lueur vacillante des runes. Liam baissa
i s'ouvrait entre les arbres. Elena sentit l'air changer immédiatement. Une chal
semaient le sol, projetant des éclats de couleurs vibrantes. Elena n'avait jamais rien vu de tel.
ait. Chaque bruissement de feuille rappelait
e de pierre recouverte de lierre. Liam s'
nergie palpable émanait de la structure, comme
anchit l'arche. Elena hésita une s
r d'elle sembla vaciller. Des images floues se superposaient à la réalité : d
son bras pour
même comprendre pourquoi cette p
s, et les visions disparurent progre
une citadelle imposante se dressait, ses tours effleurant les nuages gris. Des muraill
e boule se form
elle, incapable de détourne
main ferme s
robablement dit si les mots
s mots étaient inutiles. Seul le battement de leurs cœu
pit
eu étrange. Elena observait la citadelle au loin, son esprit tourmenté par des questions sans réponse. Pourquoi cet endroit lui paraissait-il si familier
épaisse s'élevait autour d'eux, l'enveloppant dans un voile de mystère. Les pierres des murs de la ci
lui aussi affecté par cet endroit, mais d'une manière différente. Lui, il semblait y être lié, ancré à cette terre de manière que lui-même ne comprenait pas enc
'est-ce pas ? souffla-t-elle, s
r l'artefact de pierre, et les symboles s'illuminèrent brièvement, projetant une lumière rougeâtre dans l'obscurité envi
it Liam, sa voix
it épais, chargé de l'humidité du temps. Les murs étaient décorés de fresques anciennes, représentant des batailles, des divinit
e, bien que l'impression d'être observée ne la quittât pas. Quelque part dans l'ombre, elle savait que des yeux invisibl
devenait plus lourd, presque tangible, et la sensation d'oppression se faisait plus forte. Elena se se
anda-t-elle, brisa
épondre, mais il se tut. Une tension palpable s'était installée entre eux, mais il n'en parla pas. Il n
lonnes imposantes qui soutenaient un plafond orné de symboles ancestraux. Au centre de la pièce, un trône de pierre se dressait,
honné, dont le visage était partiellement dissimulé dans l'ombre.
é de l'atmosphère. Qui était cet homme ? Et pourquoi avait-il ce pouvoir étrange, qui se
résonnant dans la pièce. Une voix qui sembla
sur elle. C'était comme si chaque mouvement qu'il faisait était mesuré, c
discuter, dit-il avec
pensées. Que se passait-il ici ? Pourquoi Liam l'avait-il amené
citadelle. Le sol vibra sous leurs pieds, et des éclats de pierres se détachèrent
vers Liam, un sourire én
st ar