Tombée sous son charme
pit
T DE VUE
encore brûlant de ce qu'il vient de se passer. Je ferme les yeux, m'appuie con
n sourire sur le visage, pensant à quel point je t'aime. Mais, ici, dans cette salle de
nce, pourtant si innocent au départ, s'est chargé d'électricité. Je ne sais même pas qui a fait le premier pas. Peut-êt
Une passion, une intensité que je n'avais jamais ressentie avec Lucas. Damien... il savait exact
tes. Ce n'était pas un moment volé ; c'était un moment vrai. Et maintenant, je me demande : pourquoi ne ressen
. Ou peut-être que
refroidir, mais je reste immobile, les souvenirs brûlants dans mon esprit. Que
j'ai ressenti ce soir... je
t, au fond de moi, un mélange étrange de satisfaction et de culpabilité me tourmente. Mais
t Lu
t-il d'une voix joviale, sûrement
dées. J'ai l'impression que l'odeur de ce
en haussant la voix pour qu'il m'e
ais l'image de Damien revient dans mon esprit. Ses mains,
uce, presque luxueuse, qui me colle légèrement à la peau encore humide. Le miroir embué me renvoie une image que je peine à reconnaî
t là, assis sur le canapé, une boîte de pizza ouverte devant lu
'aurais pris du champagne avec les pizzas, plaisante-t-il en s
pensais, et elle épouse mes courbes d'une manière presque provocante. J
ant pas les miens. Je me penche légèrement, comme si je voulais inspecter la pizza, mais je sais ce que je fais. Je le
pperoni ?, je demande, feignant l'inno
ement, un r
ton p
main sur son épaule, juste assez pou
rs à tout, murmuré-je doucement,
ouvoir, bien que grisant, ne me comble pas autant que celui que j'ai ressenti avec
ouriant. Comme ça, on pourra dég
sur son visage, ses yeux suivant chacun de
r les bonnes raisons. J'ai tenté de séduire Lucas, de jouer ce rôle de petite amie parfaite, mais une p
, à cet instant précis, je ne sais
les cheveux tout en évitant de croiser mon propre regard. Ce que j'ai fait ce soir me hante déjà, mais je n
légèrement humides retomber sur mes épaules. En entrant dans le salon, je lui lance
part de pizza à la main, et
chaud, dit-il en tapotant la pl
Et peut-être que tout est normal... du moins en apparence. Lu
chaud, ajoute-t
cement, prenant la
La pizza est bonne, le fromage fondant, et Lucas est là, à mes côtés. Mais ch
sous la douche ?, me demande-
tête, jouant
'être occupé des pizzas, tu es le meil
nt, satisfait
n'avait changé. Lucas me parle de sa journée, de son collègue au bureau qui
e ressens une pointe de culpabilité. Pourtant, je joue mon rôle à la perfection. Je s
pas. Je le laisse entrelacer ses doigts avec les miens, et je m'e
ure-t-il soudain, les ye
cères, me frappent comme un coup de poignard. Mai
ponds-je doucement, en forçant un
onde. Et à cet instant, je me demande si je pourrais un jour lui a