PDG: Trahi par mon compagnon
rêt semblait vivante, presque en harmonie avec les battements de son cœur. Ici, elle se sentait chez elle. Elle était respectée, admirée même, malgré son jeune âge et les murmures pa
plinée et prête à tout
critiques sur le statut d'Omega de Caleb. Mais pour Alana, les conventions ne comptaient pas. Elle voyait en lui un homme ambitieux, capable de la soutenir face aux responsabilités qui pesai
ales qui naissent parfois de la fatigue ou du stress. Elle voulait se rattraper, lui montrer qu'elle tenait à lui. La pe
r. En approchant de la clairière où se trouvait la maison, un sourire flotta sur ses lèvres à l'idée de voir la surprise dans ses
orte, inspirant profondément pour calmer s
'arrêt
t comme une sœur, était dans ses bras. Leurs lèvres se cherchaient, avides, comme si le monde autour n'existait pas. Les mains de Caleb parcouraient le dos de M
. Elle se sentit brisée, comme si tout ce qu'elle avait construit venait de s'effondrer en un instant. Caleb m
urler, pleurer, mais elle ne fit rien. Elle se contenta de reculer, ses pieds trébuchant presque sur le
ent où aller. Les larmes brouillaient sa vision, mais elle ne s'arrêta pas. Tout ce q
mitié ; ils avaient mis en péril son honneur, son statut, tout ce qu'elle avait sacrifié pour prouver qu'elle était digne de son rôle. Que dirait
leb et Alpha de la meute. Son regard sombre la transperça, et elle sentit immédiatement qu'il avait compris. Lucian n'é
t, sa voix grave et calme
ruta son visage, et elle sentit ses joues brûler sous son regard. Il n'était pas comme Caleb. Là où Caleb était chaleureux e
t-elle, mais sa voix trem
qu'il ne croyait pas une seconde à son mensonge. Il fit un pas vers elle, et Al
les ont tendance à s'aggraver," dit-il simpl
répondre, mais aucun son n'en sortit. Lucian ne rajouta rien. Il se contenta de lu
l en s'éloignant. "Mais n'oublie pas : on ne
dans la pénombre, la laissant