Son Cheik interdit
qui lui tourmentait la conscience. Elle avait l'impression que quelqu'un la surveillait. Mais... Ayla
au des crimes. « De plus, je sais aussi que vous avez envoyé plusieurs enquêteurs de diverses agences gouvernementales à Boutir et q
à cette dernière phrase. « Vraime
ore et encore et s'attendre à des résultats différents est la définition de la folie. » Elle se pencha à n
ère serait ouvert à de nouvelles idées. C'était un grand leader, pensa-t-elle. Il avait fait un
l était suffisamment ouv
x verres de scotch quand Ayla avait fait irruption dans le bureau d'Astir. Tandis qu'elle expliquait ses idées, l'homme s'était assis, sirotant le satané scotch et... bon sang ! Astir voulait s'en prendre à
omme dans la pièce. Surtout pas cet homme en particulier. Il avait vu les étincelles voler la dernière fo
it dans son fauteuil en cuir et co
-il, se promettant de s'occuper plu
e vos enquêteurs se faisait passer pour un fiancé potentiel pour moi ? » Elle a dû reconnaître le
e mes propres gardes du corps, plus une flopée d'autres agents qui pourraient faire office de gardes du corps de mon faux fiancé. Ce serait un moyen facile d'amener suffisamment de gens à Boutir pour comprendre ce qui se passe vraiment sans effrayer les personnes qui sont derrière les problèmes. Nous pourrions visiter quelques autres villes avant de nous rendre à Boutir, donnant l'impression d'une cour officielle en grande pompe. Nous pourrions même inviter des journalistes – et dans ce mélange de jo
nsait que c'était un plan ingénieux ! Mais le ferait-il ? Astir était très protecteur, mais da
ur et dire aux journalistes que nous ne nous entendons tout simplement pas. Je pourrais même organiser une rencontre avec ce prétendant dans plusieurs autres restaurants dans quelques mois, deman
as avec ce plan. Cela marcherait. Elle le savait ! Il y avait tellem