L'ÉPOUSE DU MILLIARDAIRE
le
DE VUE DE
te. Camille... Elle avait ce mélange étrange d'assurance et de fragilité qui la rendait u
portant. Mais, soyons honnête, je n'étais pas concentré. Mes pen
rère, qu'est-ce
ns. Ma sœur cadette entra dans la pièce, une assie
à peine l
n du
ire, un rire moq
connais. Ton air distrait et cette façon de froncer l
refermant m
devenue experte en an
rque et planta son
ours. Dis-moi, c'est à cause d
. Noémie avait toujours eu ce don de mettr
ut-ê
age s'i
t elle ! Tu es complèt
accro, répliqua
s yeux et cro
tte machine à coudre qui coûte u
dressai,
nt tu s
it. Il était tellement f
ncier, marmonnai-je en pr
ire, se penchant l
. Pourquoi tu fais
échissant à sa question
t différente, répo
rente c
piration, cherc
par l'argent. Elle n'essaie pas de me
fixa, l'ai
première fois que je t'entend
épaules, essaya
est
iel, tu as littéralement annoncé au gal
regard, légère
de court. Je n'a
corrigea-t-elle. Et ça,
nt un raisin, avant de repren
le milliardaire, quelle e
oémie avait ce don de rendre chaqu
a laisser v
mystère ? demanda-t-elle avec
jeu, Noémie, dis
et elle me regarda av
ue je veux juste ton b
ête, touché pa
le
, s'étirant
. Les femmes comme Camille, elles méritent qu'on leur montre qu'e
ore dans l'air. Elle avait raison. Camille était spéciale
à Camille. J'imaginais sa réaction en découvrant la machine à coudre haut de gamme q
de mes pensées. Mon assistant pa
ertaine... Camille est ici.
lle ? Ici ? Je fis un effort pou
es-la
ais qui mettait en valeur ses courbes avec une élégance naturelle. Ses cheveux encadraient son visage ave
haniel, dit-el
, feignant
uelle agréab
pièce, s'arrêtant à
r pour... pour la machine. C'
èrement, croi
ais pas inutil
urire, un peu gênée
st trop... Je veux dire, je ne compr
, réduisant un peu la
es. Vous avez un talent incroyable, Camille. Une mach
elle réfléchissait à ma réponse, puis rele
du genre à accepter facilement les choses...
récier ce mélange. Camille avait une manière unique de remettre en qu
er votre acceptation ? demandai-je en
lle s'approcha encore d'un pas, réduisant presque toute la distance
par arrêter de me déstabiliser, dit-elle
un sourcil,
déstabi
ans le mien, un éclat pr
os regards... et cette façon que vous av
Était-ce une tentative de me mettre à
je ne suis pas aussi sûr
contenancée, mais reprit
s que vous cache
e que moi, mais elle refusait de le montrer ouvertement. Ses gestes subtils – un léger dé
m'appuyant contre mon bureau pour
s vous sentiez obligée d'accepter
les sourcils, comme si
je ne suis pas aussi diff
le savait. Mais cette fois, je devais me retenir. Je n'étais pas sûr de ses in
lus de temps pour comprendre qui est le plus
ent, son regard tou
ut-ê
rder sur le parfum subtil qu'elle laissait dans son sillage. Avan
ncore, Na
à vous,
battement accéléré de mon cœur. Cette femme était une force de la nature. Elle m'attirait
ce jeu n'éta