L'ÉPOUSE DU MILLIARDAIRE
ent ma
DE VUE DE
t étira ses lèvres. Il prit une légère inspiration, co
is pas encore présenté. Nathaniel De La Cro
simple couturière, j'avais déjà entendu ce nom. Un empire, des entreprises florissantes, une fortune col
ment en lui serrant la main,
ple réaction dissipa une part
e nom ne m'a pas quitté depuis la première f
des yeux,
ous m'avez
là, concentrée sur une robe, et je me souviens avoir pensé que
jours pas où il voulait en venir. Pourquo
r ses pensées. Puis il planta à nouveau son regard dans le m
sa voix soudain plus grave. Si je vous ai invitée
sourcils, le
e ? Pour
t, réduisant encore l
être ma
i instinctivement d'un pas, ma main
e, ma voix trahissa
oi comme s'il cherchait à m'ancrer dans
pas un homme qui perd son temps. Quand j'ai vu cette lumière en vous, ce mé
emblait avoir de sens. Un milliardaire, un homme
je, secouant la tête. Vous
t. Mais j'ai l'intention de le
insistai-je, le cœur b
, ses yeux devenant
qu'un de vrai à mes côtés. Et surtout, parce que je crois qu'on n
part de moi voulait croire en ses mots, mais u
-moi une chance de vous prouver
ui respirait sincérité et détermination. Mais pouvais-je vraiment accepter u
ler mes pensées. Les paroles de Nathaniel flottaient encore dans l'air
. Vous êtes un homme comme... comme aucun autre. Vous êt
a dans ses yeux, ma
déjà fait perdre la tête,
e céder à cette étrange chaleu
is réellement. Vous idéalisez une
à nouveau la distance entre nous,
rétendre que tout cela est normal. Ce que je ressens, cette attraction, cette certitude... c'est n
ouvais m'empêcher de me sentir prise dans
n ? tentai-je, ma vo
s lèvres, et une lueur espi
is tout pour vo
isai ses yeux sombres, cherchant une faille, une raison de ne pas le croir
er, ne pas tomber dans ce piège apparemment parfait. Mais une part de moi, l
esque étranglée par l'émotion. Vous et moi
s histoires encore plus intéressan
doucement, bien que ce soit
tes impo
fascinante, rétorqu
s. J'avais l'impression que le temps s'était suspen
onner une réponse maint
tête, un sou
. Prenez le temps qu'il vous faut, Camille. Mais
i bien après qu'il se soit éloigné. J'étais à la fois troublée, intrigué
ieuse, mais mon esprit était ailleurs. Les mots de Nathaniel tournaient en boucle dans ma tête
parler, de partager ce qui venait de m'arriver avec quelqu'un. Mes amies seraient l
ude, en train de rire et de discuter autour d'une tasse de thé. Dès qu
Jade, l'une de mes collègues et amie la
mon sac,
âchai-je finalement, sans
e des autres couturières, en croisant les br
chapper un r
. Mais il y avai
avies d'avoir une histoire croustillante à se mettr
aconte-nous tout. On v
e thé, espérant que le liquide
l y avait cet homme...
sif
Celui qui fait la
a tête, un
i. L
rquilla
eux dire qu'il
invitée, et ce soir... il m'a dit q
la pièce, avant qu'Inès ne laisse é
amille, tu pla
je en haussant les épaules.
son cœur, dramatisant
? Tu as d
ans mes cheveux, tou
abasourdie. J'ai dit que je ne po
a de rire
riches types aiment jou
tête, ses yeux bri
lle. Ça ressemble à un
e moi voulait croire que Nathaniel était sincère, mais l'autre ava
st-ce que tu comptes
les épaul
s rien. Tout
ne main sur
prudente. Les hommes comme lui ne viv
, semblait déjà co
aime vraiment ? Ne ferme pas la p
c'était bien là le problème. Je ne savais