L'ÉPOUSE DU MILLIARDAIRE
'invi
DE VUE DE
achine à coudre résonnait dans la pièce. Le tissu glissait entre mes doigts avec cette sensation que seul un artisan peut comprendre. J'étais dans mon
uton. Si j'avais ton talent, je ne m'arrêterais pas aux robes de mariées ou
e. Mathilde avait toujours des idées ambitie
e, amusée. Et puis, ici, tout le monde me conna
n de dentelle, releva la tê
monde t'admire aussi. D'ailleurs, c'est vrai ce qu'o
ules, essayant de
Mais vous la connaissez : elle va sûrement
oments simples avec elles. Mais, comme toujours, nos discussio
avec un sourire en coin, pas encor
out en reprena
ai pas le temps pour ça. Mo
ent un regard complice qui
ise, on m'a dit qu'un homme trè
tement, mais je m'effo
-je en haussant les épaules
d'une aura différente, presque intimidante. Son regard, perçant et assuré, m'avait déstabili
eplongeai dans mon travail. Ce genre d'homme n'avait
mme qui venait d'entrer semblait tout droit sorti d'un magazine de mode : grand, bien habillé, avec un costume parfa
tournèrent vers lui, les yeux ronds. Il tenait une enveloppe en main, e
vous ? demanda-t-il d'un
répondis-je, lég
pas, tendit l'envelopp
est pou
l'intérieur, une carte épaisse et luxueuse, ornée de do
des Étoi
Un rassemblement où les grandes personnalités, les figures influentes
les yeux,
ne erreur... Pourqu
ssa un sourir
surez-vous simplement d'
ourcils, chercha
r qui ? Qui
ses boutons de manchette av
ous dire, c'est que vot
urna les talons et sortit de l'atelier, laissant derri
se bondirent pr
a ?! lança Mathilde, les y
s compte ? ajouta Élise. Seuls les
mple couturière, invitée à un événement aussi grandiose ? Cela n'avait
derrière
.
n vouloir m'inviter à un événement si prestigieux ? J'avais essayé de me convaincre que c
thilde et Élise insistèrent pou
est invitée à un événement pareil ! Tu dois être parfaite, lança
i-agacée, mi-r
je vais me fondre dans la masse, ou pire, qu'
n déposant une énorme trous
be digne des plus grandes stars. Et crois-moi, on
s inspirée de mes créations préférées, alliant simplicité et élégance. Le tissu, une soie noire q
e fameuse robe, dit Mat
lequel reposait la pièce. Les
tre une déesse dans
aufiner ma tenue, à choisir les bons accessoires, et à me coiffer. Élise prit en charge mes cheveux, les r
pendant qu'elle appliquait une touche de
ersion glamour, rétor
nnaître. La femme qui me fixait semblait sortie d'un magazine : élégante, conf
à ma place ? soufflai
ses mains su
place. Peu importe où tu vas. C
que j'avais confectionnée de mes propres mains et l'assurance que
erline noire aux vitres teintées –, une pensée traversa mon esprit : qui que soit
.
nspiration avant de sortir, remerciant le chauffeur d'un signe de tête. Les grandes portes de verre scinti
les lustres gigantesques suspendus au plafond, tout semblait sorti d'un rêve.
itement taillés, des femmes en robes de créateurs qui semblaient coûter une
ait que j'étais une étrangère ici. Mes talons claquaient sur le
fais ici ? murmurai
oin où me cacher. Je ne savais ni pourquoi j'étais là, ni quoi faire. Je me contentais de marcher, obser
cinquantaine d'années s'approcha d
magnifique. Permettez-moi de
is un souri
Je m'appell
à l'aise dans cet environnement
demanda-t-elle en observ
e. Je... Je crois que quelqu'un m'a
gèrement la tê
oix. Ce genre d'événements est parfait pour
à me détendre. Finalement, Florence fut appelée par un
e couturière, entourée de figures importantes. Que faisais-je là ? Je regardai ma montre
e c'était une erreur, une plaisant
rd baissé, un étrange pressentiment me fit lever
e élégance rare, avec un costume qui semblait taillé sur mesure pour lui. Ses traits étaient pa
'arrêta un
ais vu son visage que brièvement à ce moment-là, mais il m'avait marquée. Et m
ut autour de moi semblait s'effacer, les conversation
r, comme s'il cherchait à comprendre
é ma nervosité, je ne pouvais m'empêcher d'a