MA VIRGINITÉ CONTRE MILLES EURO
ans les pensé
DE VUE
opulence et la crasse de la cave que je venais de quitter me donnait presque le vertige. Mon cœur battait à tout rompre, mais je ne
ent dans le verre que tenait Paolo. Il s'était installé en face de moi, son regard planté dans le mien comme pour m
la, sa voix grave
trouvait-elle là-bas, à se vendre dans une cave sordide ? Tu es j
J'aurais voulu disparaître, m'évanouir dans l'air, mais il n'y avait nulle part où aller. Je détournai les yeux, sentant une brûlu
sta-t-il doucem
our répondre, mais ma voix était
n'avais p
ux, me laissant continuer. Alors, les mots se déversèrent, bruts,
s payer mon loyer, alors il m'a jetée dehors avec mes aff
ne de compréhension dans son expression. Mai
her un boulot, n'importe quoi, quelque chose qui me p
s serrées si fort que mes join
faire lécher. Je me suis dit que je pourrais le supporter. Que c'était seu
mes joues. Paolo posa son verre sur la table entre nous et s'approcha
oi, dit-il
x, mes larmes brou
rien fait de mal, Allyssa. Ce monde est dur, cruel
e m'avait jamais parlé ainsi, avec autant de certitude et de compa
ça pour moi ? demanda
llants d'une intensité que
quelque chose que tu ne vois pas toi-même.
rès tout, personne ne tend la main sans raison, n'est-ce pas ? Mais à cet ins
ille à la rue, mais je n'étais pas non plus sûre de ce que j'allais devenir. Tout ce que je savais, c'est qu'à côt
stant, cela
r plus cher que tout ce que j'avais possédé dans ma vie, je me surprenais à respirer plus librement. Paolo continuait de me parler, sa voix grave et rassura
, qui me faisait baisser mes défenses. Je n'aurais jamais cru que je pourrais me sentir à l'aise dans de telles circonstances,
isé envahit mes sens, me rappelant chaque carresse qu'il m'avait portée dans la cave. Un frisson me parcourut lorsque sa main effleura
les invisibles sur ma peau. C'était la même caresse, la même douceur qu'il avait utilisée dans la cave. Mais ic
eau nue là où ma robe s'arrêtait. Je savais que je devrais le repousser, dire quelque chose, mais aucun
ent, comme s'il testait ma réaction. Mais lorsque je ne reculai pas, le baiser s'approfon
traversa mon esprit, claire et incisive : Pourquoi ne pas le laisser a
maintenant, tout semblait flou. Ses lèvres, sa chaleur, cette façon qu'il avait de me t
s comme les autres hommes présents. Il avait pris ce qu'il voulait, oui, mais il l'avait fait avec une tendresse étrange, une douceur presque incongrue. Et maintenant, alors qu'
blait avoir pris le dessus sur ma raison, et dans ce moment suspendu, dans ce jet en plein ciel, je me demand
je ne voulais p