LE CŒUR DE LA PRINCESSE
e, soulevant son verre po
Tu n'as pas
à côté d'elle. Son poids déplace les coussins e
muscles tendus de ses épaules. Au lieu de lui dire d'arrêter, sa seule réponse est un prof
l d'une voix douce et
r masser son cuir chevelu, puis revenant sur ses épaules. Tout ce que Ciara peut faire, c'est gémir de plaisir.
type de tension resserre son corps. Elle essaie de l'ignorer, mais lorsque ses mains descendent en
plus facilement. Elle a attrapé l'un des coussins, le serrant contre sa poitrine, mais qua
lk !" sif
lle sent ses lèvres caresser sa
che bouge sur son épaule, caressant, m
ir. Un "merci" poli avant de retourner dans sa p
à cet instant. Ne même pas se dire qu'elle devrait partir, que c'était une mauvaise idée, pourrait forcer ses
t ? Cette conscience constante et trépidante est-elle la raison pour laquelle elle s'est éloignée ? Parce que c'était si i
e d'autorité lui donnent envie de se pencher vers lui. Ciara a la folle pensée que si elle embrasse cet homme, elle pourrait
pas. La tension flotte dans l'air, une force palpable qui les retient captifs. Finalement, sortant de l'impasse, Ciara fait un ajustement subtil, un changement sinueux, se positi
homme qu'elle avait diligemment évité pendant si longtemps, mais un gémisseme
lors que son regard intense se fixe sur le sien. Il la rapproche et en un clin d'œil, Ciara se retrouv
bourrue et exigeante. Ses mains, qui auparavant avaient fait fondre la
contre son cœur efface tout débat interne. Elle ne réfléchit pas ; elle se livre à l'urgence du moment. Se déplaçant
asser. Ce n'est pas un effleurement doux de ses lèvres comme il l'a fait avec son
ttrayant. Ses mains passent sur ses épaules, frustrée lorsqu'elle rencontre sa chemise au lieu de sa peau nue. Il recule et elle pousse un cri de protestation sourd. Mais il tend simp
i, bouge contre lui et lui mordille le cou, choquée par son goût délicieux, laissant sa lang
ur de sa taille. Elle lui attrape la tête pour le regarder dans les yeux, mais Falk l'embrasse seulement, lui ravissant la bo