Le Milliardaire Sans Cœur
pit
r des chiffres, des décisions calculées et des rapports froids. Pourtant, lorsqu'il arriva chez les Blackwood pour cette ré
ugmenter son pouvoir et ses contacts. Rien de personnel. Juste des affaires. Mais cette fois-ci, l'ambiance
ans le salon où la réunion devait avoir lieu. Les Blackwood étaient là, plongés dans leurs discussions de
à qu'il
i
ait l'air perdue dans ses pensées, loin de tout ce qui l'entourait. Elle ne l'avait pas remarqué tout de suite. Dimitri s'arrêta un instant, hés
ui se dégageait d'elle comme un parfum d'interdit. Il s'avança silencieusement vers elle. Il n'avait jamais été du genre à parler sans raison, mais aujourd'hui, il y avait quelque chose
» demanda-t-il, sa voix fro
x se posèrent sur lui, surpris, mais il n'y avait rien d'hostile dans son
a maison, encore moins à des étrangers comme lui. Mais il y avait quelque chose dans son regard, une
ne cherche rien
aurait pu lui poser des questions, à propos de ses habitudes ou de son rôle ici. Mais il se contenta de
demanda-t-il après un
te, un geste à la fois simpl
lle, puis, comme si cette confession la mettait mal à l'ai
ose dans son regard trahissait une forme de vulnérabilité. Di
e perdant un moment dans les étagères bien ordonnées. «
-delà de sa simple présence dans la bibliothèque. Un regard qu'elle n'avait jamais reçu dans cette maison. Elle sentit une pointe de mala
de compassion. Rien de ce qu'il disait n'était empreint de chaleur, mais il y avait qu
udainement, sans préambule, comme si la qu
i venait de lui. Il n'y avait rien d'amical dans son regard, rien de tendre. Mais pourtant, ce n'était pas l'hostilité qu'elle pe
tête, essayant
Mais je... » Elle s'interrompit. « C'est j
t pas du genre à se laisser séduire par des propos comme ceux de Lily, mais il était intrigué. Intrigué p
légèrement plus douce. « Et j'ai l'impression que v
trine. Il y avait quelque chose de glaçant dans sa manière de l'observer, comme s'il avait vu à t
tête, ne sachant pas si el
ésir de contrôle qui s'éveillait. Il ne s'agissait pas d'une attraction physique. Non. C'était quelque chose de plus insidieux. Elle étai
ent, d'une voix plus basse, presque murmurée.
couloir, laissant Lily seule avec cette étrange sensation d'avoir croisé que