L'HÉRITIER DE LA MAFIA ET MOI
: Héritage
DE VUE
tmosphère encore plus pesante. Je me tenais debout, mes poings endoloris par les coups que je
g qui s'écrasa au sol, mêlée à quelques dents. Sa
grognai-je, ma voix résonnant comme un coup de tonne
ermés par les ecchymoses. Malgré la douleur évidente,
. au di
re de loyauté était admirable dans d'autres circonstances,
is pour que nos regards soient au même niveau. "Mais je vais te dire une chose : l
t fis signe à l'u
Qu'il médite
er l'homme hors de la pièce. Il gémissai
'était notre langage, notre méthode, mais ce n'était jamais une fin en
me sortit de mes pensées.
votre père est ici. Il
encore faire ici ? Depuis la mort de mon père, il n'avait jamais été qu'une o
r dans mon burea
en cuir, passant une main dans mes cheveux pour me donner un semblant d'or
je jetai un dernier coup
our, une autr
monde. Les murs étaient ornés de bois sombre, et l'unique fenêtre était
Il portait son costume gris habituel, ajusté à la perfection, mai
il en inclinant lé
rétorquai-je en prenant place dans mon
avant de poser une ma
e lu. Nous avons finalisé tous les détails juridiques. Je vais maintenant inf
mon frère et ma sœur suffisait à faire ressurgir des s
emandai-je d'
atif que tout le monde soit présent pour que le do
tête, le visa
tout soit en ordre. Je ne ve
se prépara à partir. Mais avant qu'il
as, ne perdez pas de temps à les supplier. Je veux que c
instant, pu
s, monsieur. B
e laissant seul face a
ent de mon père... Cela faisait des années que je savais qu'un jour, il serait question de cet
nfants d'un homme qui n'avait laiss
ndi promettait d'être un
ures que d'autres. Après la rencontre avec l'avocat, mon esprit bouillonnait de pensées,
a poche et composai un numéro sans réfléchir. Elle
elle, sa voix do
ordonnai-je
ve tout d
stions, pas de bavardages inutiles. Elle savait ce
moulante en satin rouge qui laissait peu de place à l'imagination. Ses cheveux sombre
it-elle en refermant l
evant les yeux vers elle. "T
Elle s'avança lentement vers moi, posant u
endu ce soir,"
rde," répliquai-je en me l
dans l'air chargé. Ses mains glissèrent sur mo
ouffla-t-elle, ses lèvr
ait avoir été cousue sur sa peau, épousant chaque courbe avec une précision presque insolente. Ses yeux, so
rse, son toucher doux mais ass
" murmura-t-elle, sa voix ba
le tissu soyeux de sa robe. Je tirai légèrement, la rapprochant de moi. Elle p
ant qu'elle ne puisse répondre, me
, ses mains remontant jusqu'à ma nuque, ses ongles effleurant ma peau
e bois. Mes mains parcouraient son corps, trouvant leur chemin sous la robe. La chaleur de sa peau contre
rent vers son cou. Ses mains agrippèrent mes épaules, et elle inclina
sa voix tremblante d'un méla
rps sous mes gestes. Le satin de sa robe glissa lentement sur s
ement pour faire sortir mon membr
r intense au fond d'elle,
nse furieuse et désordonnée. Karine était tout ce que j'attendais d'ell
e. Mes mains parcouraient son dos, ses hanches, ses cuisses, tandis qu'elle
pirations haletantes et du bru
sur ma peau. Je pris son visage entre mes mains, cap
mura-t-elle, sa voix ent
fuir cette cage," répondis-je avant d
pide, ses cheveux en bataille. Je me levai, attrapant mon pantalon, et
nce, un sourire satisf
ire pourquoi tu es toujours aussi
. Je bus une gorgé
aille avant de marcher vers moi. Elle déposa un
ochaine fois," dit
istraction, c'était tout ce que j'avais voulu d'elle ce soir. Mais les démons
soupirs étouffés. Ses mains expertes éveillaient chaque nerf de mon cor
faire oublier, ne serait-ce que pour un moment, le poi
cés semblaient se battre, tout comme moi je me battais chaque j
ant de retourner dans mon bureau. Karine se redre
uloir parler un peu ?" de
ardai, im
où est la
porte, mais avant de partir, elle se retourna
u voudras,
de la réalité reprenant le dessus. Une distraction, voilà tout ce qu'elle