Un contrat de mariage avec le Mafieux
ourds, mais l'atmosphère était oppressante, comme si elle était piégée dans un labyrinthe de luxe froid. Son regard se posa sur la grande porte vitrée qui menait à un balcon donnant sur la
e fois la solitude qui la frappait, bien
fit frissonner, non à cause du texte, mais du ton qu'il portait. Elle se retourna v
-il, sa voix grave tranchant
directement vers elle, fermant la porte derrière lui avec une calme fermeté. Il se
situation telle qu'elle est. » Il se tenait là, observant chacune de ses réactions avec l'acuité d'un
e regarder de cette manière, pas de suite. Mais le contrôle qu'il exe
ci, tout dépend du contrôle. Si tu tentes de le défier, tu ne feras que t'effondrer sous le poids de ce que tu as accepté. » Ses mots réso
t accord parce que je n'avais pas le choix, Rafael. Mais il y a des limites. Je ne suis pas un pion dans
eur de son parfum viril qui l'étouffait presque. Il la fixa longuement, le regard aussi tranchant qu'un couteau, puis, dans un souffle presque imperceptible, murmura : « Ne sous-e
ssance déstabilisante. Elle savait qu'il n'était pas qu'un simple homme d'affaires, qu'il n'était pas
ête à le laisser avoir le contr
ans réponses, de regards fuyants et de silence lourd. Ma
teintées, des pièces immenses et vides, presque comme un musée figé dans le temps. Ariana se sentit mal à l'aise dès qu'elle franchit le seuil. Il n'y avait aucune chaleur ici, aucun signe de vi
anait de sa femme. Ils s'étaient arrêtés dans un salon vaste, lumineux, mais pourtant dénué de toute ambiance c
ce, presque amusée. « Mais c'est ici que je travaille. Et ici, tout doit rester sous contrôle. » Il s'approcha
dans l'air. Elle s'avança, observant une porte légèrement entrebâillée, à l'autre bout du salon. Rafael la suivit des yeux, mais ne fit aucun mouvement pour l'arr
auteuil en cuir noir, et des dossiers éparpillés sur la table. Il n'y avait rien de particulièrement choquant, mais quelque c
ce n'était pas ton
et intransigeant. Il ne s'était pas déplacé, mais il dégageait c
ne voix basse, presque un murmure. « Pour
emis, Ariana. Et ici, c'est là où ils ne peuvent pas m'atteindre. Ce n'est pas une maison, c'est une forteresse. Et tout ce que tu vois, tout ce que
vérité, une prise de conscience. Elle n'était plus seulement la femme de Rafael Moretti, elle était la clé d'un secret plus va
pas encore, mais ce qui venait de se révéler, tout ce que Rafael cachait derrière ce