La possession de l'Alpha
pit
e à se sentir comme une prisonnière dans la maison de Dante, en proie à l'étouffante atmosphère qu'il avait instaurée. Sa décision
ait l'air discrète. En glissant ses clés de voiture dans sa poche, elle s'assura que son téléphone était sur silencieux pour éviter de recevoir des appels indésirables.
en briques apparentes et ses odeurs de café fraîchement moulu, était un refuge pour elle. Un endroit où elle pouvait se fondre dans la foule, où personne ne lui dirait quoi fair
s qu'elle commandait une boisson chaude, se promettant de profiter de ce moment pour se ressourcer. Elle ob
ait lui rappelait Dante, son autorité, son intensité. Elle n'était pas censée être là, et quelque chose au fond d'elle savait
sion. Mireille leva les yeux, son cœur s'accélérant lorsqu'elle reconnut Dante, se tenant là, dans l'embra
de colère et de désespoir. Tu pensais v
le, le pas ferme, attirant l'attention des autres clients. Ce n'était pas l'approc
ment pour moi, balbutia-t-elle, se se
se défendre. Ses yeux brillaient d'une colère étouffée. Les clients autour d'e
s libre, dit-il, sa voix basse et chargée de reproches.
entant une vague de
de mon espace. C'est insupportable de viv
ire serrée, et elle pouvait voi
ttre dans une cage ? Je fais cela pour
a la tête,
lement obsédé par cette idée de protection
lire ses pensées. La tension entre eux était palpable, et elle pouvait se
ur mes gardes, répliqua-t-il avec un ton tranchant. Tu ne
erchant une répo
peut être étouffant de ne pas pouvoir vivre ma
exaspéré, se redres
aurais compris que c'est pour ton bien. Je ne va
fois déroutante et douloureuse. Elle était là, assise devant lui, ressentant ch
-t-elle, s'efforçant de maintenir son regard.
sa colère palpable. Les clients autour d'eux avaient ces
rotéger, dit-il finalement, mais la passio
étaient en désordre, un mélange de frustratio
moi vivre, supplia-t-elle. Je sui
tre ce qu'il ressentait pour elle, contre la possessivité qui le rongeait. Mais Mireille n'était pas là pour
squement, comme si la situation était devenue trop accablante
le cœur battant de frust
s te laisser me dicter ma vi
tation était devenue inévitable. Les gens autour d'eux avaient r
s l'intention de jouer à ce petit jeu. J'espè
efusant de se laisser intimider. La tension entre eux était u
tremblante mais résolue. Je ne resterai pas ici à v
le, une ombre se dess
e l'amour, de la préoccupation. Je ne te
mais une chose était certaine : cette confrontation n'était que le
elle de rester là, à réfléchir à tout ce qui venait de se passer. Mais ce qu'elle savait, c'était que les rôles avaient changé. Elle n'était
mer autour d'elle, et le silence était lourd de promesses non tenues. Elle se dirigea v
dit-il d'une voi
erminant pour leur relation, pour ce qu'ils étaient en train de devenir. Elle