La prisonnière d'Alpha 2
e, son visage grave et crispé. Sans un mot, il attendit que le garde prenne la paro
a le garde, agenouillé dans une révérence solennelle,
"C'est une menace, ou bien une intention
de se réduire elle-même en cendres si on ne la l
gardait l'homme s'éloigner, surpris et choqué de cette réponse. "Qu'on la laisse partir, bon sang ! Elle n'est captive de per
s'asseoir dans un coin du jardin, où Pablo fixa le vide un instant avant de tourner les yeux vers elle. "Alors, a
d'inquiétude perçant dans son regard. "Je pensais que tu serais plus préoccupé pa
s-ci, j'ai envie qu'elle ait ce qu'elle désire vraiment." Il haussa les épaules.
le le regarda un instant, une lueur de tendresse dans les yeux. "Laisse-moi te préparer quelque chose à manger d'abord. Tu
c un sourire. "Tu lis d
e laissant seul q
ts des gardes à propos de la décision de Pablo. Arlin, son plus fidèle conseiller, se rapprocha discrètement pour lui murmurer à
lle, qui semblait tout aussi troublée par cette décision inattendue. Elle soupira enfin, brisant le silence
e : "N'oubliez pas, Majesté, que les ordres du prince sont absolus. Et
e Murielle. "Oh, ça, nous verrons bien... La pa
palais pour laisser Hermine passer. Mais alors qu'elle s'avanç
u as changé d'avis." Elle se tourna ensuite vers Murielle. "Vous de
s yeux. "Qu'as-tu fait de mon fils, Elisa ? Qu
x de la Reine. "Rien, Majesté. C'est lui qui a pris ses décisions. Vous
ncieusement à l'échange, se glissa devant elle, son regard plein de mépris. "Tu as peut-ê
us la protection du prince, et vous feriez bien de vous en souvenir." Elle se tourna pour s'e
omprendra bientôt l'erreur qu'il a faite en te gardant près de lui." Elle se tourna
ne ombre d'inquiét
pas lents, chaque mouvement mesuré, presque calculé, comme si elle portait sur ses épaules un poids invisible. Sous un arbr
de mots non dits. Pablo prit une profonde inspiration. "T'en fais pas pour les assiettes, laisse-les là, on verra plus tard... Parle-m
que chose de grand, peut-être des salves de coups de canon un peu partout dans Castelo... Une salve de 41 coups
sourire, surpris et impressionné par l'idée. Sa mère, la Reine, avait toujours été attachée aux grands espaces et aux traditions. "Com
eu serré. "Je fais juste mon travail, mon prince," murmura-t-elle en rass
retenait sans véritable raison. "Tu as vraiment
mais Pablo l'interrompit. "Je t'ai déjà dit que tu ne travailles plus pour person
lle doucement avant de s'éloigner, laissant