Le milliardaire intrépide

! Hurlai-je

er de l'emprise de Zay

je pouvais faire était de frapper mes poings contre son dos alors qu'il m

ien. Rien du tout. Tu es à moi. À moi seulement. Je peux faire tout ce que je veu

n, contestai-je en lui

ta sil

-

s et de gouvernements. Ce qui était autrefois un monde libre est à présent dominé par le G

a population

se moyenne. Soit vous êtes riche, soit vou

re quelques années, peut-être même une vie

votre plus petite erreur pourra

des hommes les plus riches, les plus puiss

esclave, forcée d'exécuter tous les

it quelque c

homme le plus puissant, manipulat

des côtés de la caisse dans laquelle j'avais été mise. J

és, j'étais bâillonnée et mes mains étaient liées d

tais étourdie et d'où me venait mon mal d

s été

nap

u de la rue,

croire l'homme qui s'était approché de moi, prétendant qu'

Vivant depuis une semaine dans les rues, la nourrit

délabré. Je l'avais rapidement suivi et lorsqu'

s, m'avait retournée et m'avait

chloroforme avait déjà infiltré mes narines et

vier alors qu'il roulait. La caisse commença à tr

peur. La porte du véhicule s'ouvrit, puis se referma et je pouva

e coffre, j'entend

voix profonde et masculine. Sa vo

je reconnus immédiatement

semaine. J'ai gardé un œil sur elle. Pe

r à mon bureau où il te donnera le chèque une fois q

stes serraient mon bras, me tirant brusquement vers le haut. Je grim

e quelque chose de d

l, l'avertit la v

plus élevée que les a

ndis deux paires de pas s'élo

s me tirèrent loin du torse,

la debout. Elle

me tenant toujours. Je sentis le souffle chaud de Nia

. Il suffit de

r calme si tu veux que tout se déroule correctement. C'est

quie

nne

rôler mon visage et le nœud qui retenait mon bandeau en pl

. Je clignai des yeux afin qu'ils s'adaptent au chan

onnait un côté très attirant. Sa mâchoire était très bien dessinée et ses yeux

de haut en bas et fit un

'intérieur. Il

uvais voir, j'essayais d'identifier ce qui m'entourait. Nous nous dirigions vers un manoir qui se situait à environ 400 mètres de l

marche, je pénétr

au blond. Il ne disait pas un mot tandis

it un trousseau de clés de sa poche arrière. Il prit rapidem

de draps noirs se tenait au milieu de la grande salle. Il y avait aussi un canapé en cuir noir

près de lui. Cette salle de bain est à toi, tu pourras l'utiliser quand tu le souhaiteras. Dit-il en me menant dans une grande pièce. Tout était de couleur blanche. Il y

pas à utiliser ce que tu veux. Il ajo

e tourna

simplement et me retourna. Je sentis un léger tiraillement sur mes poignets, puis la corde qui liait mes bras ensemble céda. Je me frot

le de bains et ensuite la chambre. Lorsqu'il ouvrit la po

nds !

Il se r

as. Le suppliai-

se durcit et

ue je t'ai

ièce et ferma la porte derrière lui. J'entendis un cliqu