A l'aube des jours
jou
et seulement douze sont arrivés à destination, sur Oréa, la planète habitable la plus proche. Ils n'étaient plus que quelques milliers de survivants, tous les autres avaient péri sur Terre. Personne n'a jamais eu de nouvelles des autres vaisseaux, tous ignorent encore aujourd'hui ce qu'il s'est produi
La publicité était partout, incitait à la consommation, et les voitures qui permettaient de se déplacer vite, mais sans le moindre effort. Une société de consommation où tout avait été calculé, réfléchi, pour que les humains en deviennent totalement dépendants, qu'ils deviennent des esclaves sans force ni volonté. C'était sa vision des choses et c'était terrifiant. Je n'enviais pas cette vie. Et puis, son visage s'illuminait tout à c
sa voix qui vibrait de joie, je le voyais dans ses yeux qui
n'est pas parfait, mais il est celui dans lequel je vis, moi, Isabe
me se releva prestement et se dirigea d'un pas ferme vers la porte d'entrée pour l'ouvrir à la volée sur un peti
ux de vous accueillir parmi nos nouveaux habitants. Je voulais m'assurer que tout allait bie
aucun souci, j
our balayer la pièce derrière elle, son sourire s'évanoui
vous avez eu u
ait vieille de toute man
e l'allée principale. Quand vous aurez le temps, passez l
ble de votre part
silence gênant s'installait, il se contenta simplement de salu
tairement construites à l'extérieur de la ville, notamment pour le cadre paysager et le calme de la campagne. Isabelle approuvait cette perspective et se réjouissait à l'avance des jours heureux qu'elle allait vivre ici, à Ca
grande affluence. Les chevaux et les calèches envahissaient les rues, ainsi que de nombreuses personnes qui se promenaient de bonne heure. C'était une ville de
ement sa robe pour qu'elle ne soit pas tâchée de boue, atti
oi, puis-je
croisa celui d'une belle femme, dans la quarantaine, élégamment coiffée et modestement habillée. Elle lui ins
à la recherch
i répondit l'inconnue. Je ne vous ai ja
Je suis la nouv
un café pour faire les présentations ? Je pourrais ainsi vous par
lontiers, je v
m'appelle Ma
, ravie de faire
n direction du café. Déconcertée par ce geste quelque
n'y avait que quelques personnes assises aux tables et qui savouraient de bon matin leur café ou leur chocolat, parfois accompagné d'une viennoiserie. Séduite, Isabel
invite,
'est pas n
insi
'elles pour prendre commande. Isabelle se contenta d'un simple chocolat, embarrassée à l'idée qu'une quasi parfait
Canton Vallée, alors ? demanda-t-elle, sour
h o
tements, notamment deux futures mères dont le ventre s'arrond
ampreas, j'imagine qu
ur déposer leur commande sur la table en leur souhaitant un bon appétit. Étonnée par son
onnaissez v
ne. Je connais quelques noms de villes
squ'ici. Là-bas, on y trouve de nombreux commerces, il y a également des habitations en centre-ville et le mode de vie est moins... rustique, moi
t là-bas doivent mener une vie t
culteurs ou les mineurs, mais ils exercent d'autres métiers qui ne sont pas toujours évidents : médecins, avoca
n portant sa tasse à ses lèvre
par faire une dépression à force d'écouter ses
vrée... Et comment v
l travaille dans le
t Isabelle remercia encore une fois Marianne pour le
e et vivre dans une ville aussi grande
elle n'en n'a pas l'air, est tout de même
raison-là que vous a
Contre l'avis de mon
Oh
se pour prendre la main d'Isabel
re les erreurs d'antan, mais il n'empêche que cette vie-là ne me conven
rends tou
and son regard croisa celui de l'inconnu qui venait de franchir la porte. Ses yeux bleu électrique la
abel
Mm
gênée par ce moment d'égarement. Marianne, elle, para
axime, le
est
ne. Il est plutôt séd
uté, aux yeux des autres, ne dépend que des goûts de chacun. Bon
on sourire. De plus en plus mal-à-l'aise, Isabelle se releva maladroitement al
et elle sentit ses jambes faiblir avant